Chose promise, j'ajoute cet article à celui déjà posté à ce sujet, à l'exception que je vais faire l'impasse sur l'évidence que j'ai déjà étalé cette fois là. Il suffit des portes ouvertes, il y a bien plus grave que les torche-culs et les émissions culturelles de TF1 : la compassion sur fond de culotte, ça c'est grave !
« gueule d'ange »… ou l'expression qui veut tout dire. Au lieu de se dire que la place d'un ange est au ciel, on se dit « oh comme c'est triste, mourir à seulement 23 ans, même si en si peu de temps il a réalisé des rêves qu'on n'atteindra jamais en 100 ans, pourquoi faut-il qu'un garçon si mignon nous quitte ? snif »
En effet, tu parles d'un drame ! Une icône masturbatoire nous quitte, les protège-slip sont en deuil.
Fantasmer sur le sourire colgate et la mèche laquée d'un mort c'est trop morbide pour l'esprit star ac', on ne peut même plus espérer verser ses larmes sur son acné lors de sa rencontre organisée par fan de. Hurlements de douleurs des groupies, le monde s'écroule !
Soyons honnête, le produit dérivé le plus représentatif de ce défilé de pleureuses serait d'ajouter au CD post-mortem de ce « grand artiste » un kit « premières masturbations » comprenant un mini vibro et un livre simplifié de psychologie expliquant aux pucelles en rut pourquoi leur inconscient les fait systématiquement fantasmer sur des types plus ou moins inaccessibles : le professeur de gym, le mec déjà pris, l'homosexuel, le meilleur ami du grand frère, Légolas, ou comme ici :
un mort.
J'ai pas encore bu à la mort de ce mec, tiens.