Comme peut de personnes le savent, le teneur de ce média réside un quartier au Nord de la ville citée dans l'intitulé de cet article. Et comme lui, vous savez peut-être que depuis huit années* la symbolique de cette ville ne ressemble plus à rien.
Il y a longtemps maintenant, mais du temps à perdre me le fait raconter cette nuit, une personne traversa une partie de la capitale à pied pour regagner son foyer, les transports en commun faisant quelque chose de plus constructif - je l'espère - que de fonctionner. Lors de ce périple fort instructif en matière d'infrastructure, de décors étonnants et cætera, Votre protagoniste eu la lumineuse idée d'user de la rue Guy Môquet (oui encore celui-la) comme passage.
Alors qu'un Guy icônotoire est mis sous les projecteurs un peu trop souvent à l'époque, sa rue subit les privatisations économiques consistant en l'arrêt complet de son éclairage, comme bien d'autres voies et cela de manière quelque peut aléatoire (du moins pour les usagers, on ne sait pas trop ce qui passe par la tête de la Marie de Paris) pour faire scintiller une dame de fer toute la nuit et lui faire tourner un far sur la tête en même temps, histoire que la ville ait bien l'air grotesque, mais que cette inutilité ne soit pas trop cher.
Qu'elle est belle la nuit la ville de Paris...
Mercredi 27 août 2008 à 0:38
Commentaires
Par que-vent-emporte le Mercredi 27 août 2008 à 10:28
Quand je pense qu'une commission de travail a dû plancher des mois sur la question avant de se décider à l'unanimité en faveur de cette mesure jugée proprement géniale...
Par Mercredi 27 août 2008 à 20:13
le "Putain, que c'est beau une ville, la nuit."
- Les Nuls
- Les Nuls
Par Samedi 30 août 2008 à 1:43
le Il savait que ce soir qu'il allait la sauter avant de vomir.
Elle avait des lèvres, des lèvres ouais... Comme des hélicoptères...
Il... Il quoi... Il s'était pissé dessus... Et chié aussi ouais... Et chié... Et chié aussi...
Putain que c'est beau une ville la nuit... La, la nuit... Voilà...
Tu t'es relu quand t'as bu ???
T'es rentrée !!!
Quelle joie immense et non dissimulée !
J't'appelle bientôt.
Elle avait des lèvres, des lèvres ouais... Comme des hélicoptères...
Il... Il quoi... Il s'était pissé dessus... Et chié aussi ouais... Et chié... Et chié aussi...
Putain que c'est beau une ville la nuit... La, la nuit... Voilà...
Tu t'es relu quand t'as bu ???
T'es rentrée !!!
Quelle joie immense et non dissimulée !
J't'appelle bientôt.
Par Samedi 24 janvier 2015 à 3:27
le vIl y a longtemps maintenant, mais du temps à perdre me le fait raconter cette nuit, une personne traversa une partie de la capitale à pied pour regagner son foyer, les transports en commun faisant quelque chose de plus constructif
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