Lundi 26 décembre 2005 à 17:06
Dimanche 25 décembre 2005 à 13:14
LE MENSONGE DE NOËL ET SON ÉVOLUTION
Un peu de clarté du point de vue croyance sur la période de Noel qui est un mensonge...et même les médias se sentent "obligés" de dire que c'est pas très honnête... ! ! !
Outre l'orgie commerciale que représente cette fête, comme nombre d'autres d'ailleurs. La fête : nous devons en être maître ! Pour changer le monde, il ne suffit pas de dénoncer, il faut le faire à partir d'une certaine vision et non d'une rhétorique du chatouilli ? Sans quoi, on n'entame pas de changement profond dans un sens existentiel.
« La célébration de Noël (du latin natalis dies, jour de la naissance) était ignorée des premiers chrétiens. Elle apparaît au IVe s. quand une partie des chrétiens, jusqu'alors quelquefois persécutés, mais toujours très mal vus ...ils se trouvent évidemment en concurrence avec les religions dites païennes. Dans le cas de Noel, il s'agit pour l'Eglise de donner à ses fidèles une homologie chrétienne de la fête paienne du solstice d'hiver, où sont célébrés pêle-mêle, selon les régions, les dieux locaux : Mithra, Saturne, Apollon, etc. Fête très populaire célébrée le 25 décembre... d'où la nécessité de l'église de dévier cette fête pour récupérer les fidèles et grossir le nombre de ses ouailles.
Mais pourquoi fêter la naissance d'un mortel, d'un homme -"le seul anarchiste qui ait réussi" (sic Malraux)- alors qu'il fut considéré comme un gêneur en conviant la société à changer de fond en comble ? En effet, l'homme Jésus n'a-t-il pas été éliminé par le sanhédrin, c'est à dire le groupuscule religieux de son époque dont le clergé catholique est le pendant ? Et à sa suite, les premiers chrétiens ne furent-ils pas persécutés ou ostracisés parce que les pouvoirs, empereur romain en tête, avaient compris que le message de l'homme Jésus promouvait une société en processus de libération, l'évolution vers le Bonheur planétaire à partir d'une pratique individuelle du bien ne pouvant pas se développer sans liberté totale. En fait, l'homme Jésus, n'avait fondé ni confirmé aucune religion avec son système pyramidal, ses lois, ses interdits, ses dogmes et superstitions. Il n'avait proposé que la vie spirituelle libre, sur la base de l'amour et de la justice pour refaire le monde sur des bases ontologiques (c'est à dire partant de l'Homme ; par/pour/avec l'Humain). Or, un peuple qui se prend en main pour la félicité de toute la communauté humaine n'a pas besoin de gouvernants, parce que, la seule justification de ceux-ci est de défendre le peuple contre mal ; ils ont donc besoin que le mal existe. Un peuple en marche radicale de libération spirituelle et sociale n'a plus besoin de religion, système dont l'identité avec le pouvoir civil est frappante puisque toute religion a besoin que le péché existe ou perd sa raison d'être en ne dominant plus sur les esprits.
Que faire de Noël dans l'évolution du monde vers un liberté totale ? Eh bien, tout logiquement, le faire retourner à la fête païenne qu'il était avant le IV s. car la religion qui le célébrait ne pouvait que perdre sa crédibilité tôt ou tard. La religion quitte Noël, mais Noël demeure... alors comme on détourne la pub, on peut détourner Noel en lui donnant enfin du sens pour que les sans-abris, les sans-amour, les sans-... retrouvent une terre accueillante qui commence dans le coeur de chacun. N'est-ce pas le moment d'inviter à partager les biens, à redistribuer les valeurs, de réfléchir nos actes à partir de l'amour comme pulsion de la raison, du pardon comme piste de sortie de la vengeance sans fin, de la paix, ... bref, de la liberté spirituelle radicale vécue comme sagesse populaire.
C'est l'homme qui se transforme pour construire avec d'autres des types de sociétés à visage humain. C'est une question d'actes et non de croyance si bien que cela concerne n'importe qui :chrétien, juif, musulman ou athée -l'étiquette n'a pas d'importance- afin de faire comprendre au travers de son propre exemple, qu'en changeant en bien, l'homme ne change pas que pour lui-même ou pour la joie de ceux qu'il aime, mais il commence à changer le monde à la racine car c'est l'homme qui fait l'histoire.
Texte plagié sur http://vulgum.org/
Des valeurs abstraites et inexistantes...
On fête quoi finalement à part la naissance d'un type qui n'a jamais posé le pied sur Terre? (il marche sur l'eau) ... que du vent !
L'Homme ne serait-il bon qu'un jour par an [et tout ça pour des fables] ?
C'est bien d'être bien (comme de faire le bien) [Aaaargh!], mais sans cette éternelle hypocrisie qui penserait à devenir "humain" un jour par an [à part L'abbé Pierre et Lady Diana...]?
« La célébration de Noël (du latin natalis dies, jour de la naissance) était ignorée des premiers chrétiens. Elle apparaît au IVe s. quand une partie des chrétiens, jusqu'alors quelquefois persécutés, mais toujours très mal vus ...ils se trouvent évidemment en concurrence avec les religions dites païennes. Dans le cas de Noel, il s'agit pour l'Eglise de donner à ses fidèles une homologie chrétienne de la fête paienne du solstice d'hiver, où sont célébrés pêle-mêle, selon les régions, les dieux locaux : Mithra, Saturne, Apollon, etc. Fête très populaire célébrée le 25 décembre... d'où la nécessité de l'église de dévier cette fête pour récupérer les fidèles et grossir le nombre de ses ouailles.
Mais pourquoi fêter la naissance d'un mortel, d'un homme -"le seul anarchiste qui ait réussi" (sic Malraux)- alors qu'il fut considéré comme un gêneur en conviant la société à changer de fond en comble ? En effet, l'homme Jésus n'a-t-il pas été éliminé par le sanhédrin, c'est à dire le groupuscule religieux de son époque dont le clergé catholique est le pendant ? Et à sa suite, les premiers chrétiens ne furent-ils pas persécutés ou ostracisés parce que les pouvoirs, empereur romain en tête, avaient compris que le message de l'homme Jésus promouvait une société en processus de libération, l'évolution vers le Bonheur planétaire à partir d'une pratique individuelle du bien ne pouvant pas se développer sans liberté totale. En fait, l'homme Jésus, n'avait fondé ni confirmé aucune religion avec son système pyramidal, ses lois, ses interdits, ses dogmes et superstitions. Il n'avait proposé que la vie spirituelle libre, sur la base de l'amour et de la justice pour refaire le monde sur des bases ontologiques (c'est à dire partant de l'Homme ; par/pour/avec l'Humain). Or, un peuple qui se prend en main pour la félicité de toute la communauté humaine n'a pas besoin de gouvernants, parce que, la seule justification de ceux-ci est de défendre le peuple contre mal ; ils ont donc besoin que le mal existe. Un peuple en marche radicale de libération spirituelle et sociale n'a plus besoin de religion, système dont l'identité avec le pouvoir civil est frappante puisque toute religion a besoin que le péché existe ou perd sa raison d'être en ne dominant plus sur les esprits.
Que faire de Noël dans l'évolution du monde vers un liberté totale ? Eh bien, tout logiquement, le faire retourner à la fête païenne qu'il était avant le IV s. car la religion qui le célébrait ne pouvait que perdre sa crédibilité tôt ou tard. La religion quitte Noël, mais Noël demeure... alors comme on détourne la pub, on peut détourner Noel en lui donnant enfin du sens pour que les sans-abris, les sans-amour, les sans-... retrouvent une terre accueillante qui commence dans le coeur de chacun. N'est-ce pas le moment d'inviter à partager les biens, à redistribuer les valeurs, de réfléchir nos actes à partir de l'amour comme pulsion de la raison, du pardon comme piste de sortie de la vengeance sans fin, de la paix, ... bref, de la liberté spirituelle radicale vécue comme sagesse populaire.
C'est l'homme qui se transforme pour construire avec d'autres des types de sociétés à visage humain. C'est une question d'actes et non de croyance si bien que cela concerne n'importe qui :chrétien, juif, musulman ou athée -l'étiquette n'a pas d'importance- afin de faire comprendre au travers de son propre exemple, qu'en changeant en bien, l'homme ne change pas que pour lui-même ou pour la joie de ceux qu'il aime, mais il commence à changer le monde à la racine car c'est l'homme qui fait l'histoire.
Texte plagié sur http://vulgum.org/
Des valeurs abstraites et inexistantes...
On fête quoi finalement à part la naissance d'un type qui n'a jamais posé le pied sur Terre? (il marche sur l'eau) ... que du vent !
L'Homme ne serait-il bon qu'un jour par an [et tout ça pour des fables] ?
C'est bien d'être bien (comme de faire le bien) [Aaaargh!], mais sans cette éternelle hypocrisie qui penserait à devenir "humain" un jour par an [à part L'abbé Pierre et Lady Diana...]?
Samedi 10 décembre 2005 à 22:49
L'art est un détour par lequel le rêve retrouve le chemin de la réalité - Freud
Mardi 6 décembre 2005 à 17:32
Les protagonistes de Skyrock:
[pour suivre les protagonistes du metal...
et parce que la weshitude de Mon Mien minerve >_<]
R-n-B :
Le protagoniste arrive devant le château, entame en une complainte de gémissements pour séduire la princesse. Se retrouve entouré d'une centaine de princesses en string au corps huilés, se frotte aux princesses tout en gémissant encore et encore. Le dragon arrive et le protagoniste part en courant se cacher dans la foret. Le dragon baise les princesses.
Hip-hop :
Le protagoniste se défonce la tête, rêve qu'il est le dragon et qu'il se tape des dizaines de princesses courtement vêtu aux formes lascives. Ce après quoi il sort un single diffusé sur Skyrock, et tous les autres protagonistes croient à cette histoire.
Rap :
Le protagoniste arrive devant le château, fume deux trois lattes, attend que le dragon s'endort pour aller baiser la princesse, et retourne dans la foret jouer à la PS2 en fumant le reste de son pétard, après avoir reprocher à la princesse d'être gothique satanique (forcement elle vi dans un château à l'architecture douteuse et fantasme sur le protagoniste de l'Industrial metal).
Rap hard core:
Le protagoniste arrive devant le château, crie au racisme parce que le dragon ne le laisse pas passer. Il vend du shit au protagoniste du hip-hop, se fait mettre en taule pour commerce de produit illicites, sort de prison, tue le dragon et emmène la princesse, la baise et le fout enceinte, va à nouveau en taule, retourne chez sa mère. Revend du shit, met le feu aux villages autour du château pour lutter contre la ségrégation, se fait remettre en taule. Il crie une nouvelle fois au racisme et nike-sa-mère-sarko. La princesse le quitte pour le protagoniste du Power metal.
[pour suivre les protagonistes du metal...
et parce que la weshitude de Mon Mien minerve >_<]
R-n-B :
Le protagoniste arrive devant le château, entame en une complainte de gémissements pour séduire la princesse. Se retrouve entouré d'une centaine de princesses en string au corps huilés, se frotte aux princesses tout en gémissant encore et encore. Le dragon arrive et le protagoniste part en courant se cacher dans la foret. Le dragon baise les princesses.
Hip-hop :
Le protagoniste se défonce la tête, rêve qu'il est le dragon et qu'il se tape des dizaines de princesses courtement vêtu aux formes lascives. Ce après quoi il sort un single diffusé sur Skyrock, et tous les autres protagonistes croient à cette histoire.
Rap :
Le protagoniste arrive devant le château, fume deux trois lattes, attend que le dragon s'endort pour aller baiser la princesse, et retourne dans la foret jouer à la PS2 en fumant le reste de son pétard, après avoir reprocher à la princesse d'être gothique satanique (forcement elle vi dans un château à l'architecture douteuse et fantasme sur le protagoniste de l'Industrial metal).
Rap hard core:
Le protagoniste arrive devant le château, crie au racisme parce que le dragon ne le laisse pas passer. Il vend du shit au protagoniste du hip-hop, se fait mettre en taule pour commerce de produit illicites, sort de prison, tue le dragon et emmène la princesse, la baise et le fout enceinte, va à nouveau en taule, retourne chez sa mère. Revend du shit, met le feu aux villages autour du château pour lutter contre la ségrégation, se fait remettre en taule. Il crie une nouvelle fois au racisme et nike-sa-mère-sarko. La princesse le quitte pour le protagoniste du Power metal.
Samedi 3 décembre 2005 à 19:46
...à tous les débiles métal du serveur...
Désolé, je sent que je baisse un peu plus dans l'estime publique...pas grave !
De toute façons tout le monde a déjà lu ça quelque part alors à quoi bon citer la source?
Le protagoniste arrive sur une Harley Davidson, tue le
dragon, boit quelque bières et baise la princesse.
Grind metal :
Le protagoniste arrive, crie quelque chose de complètement inaudible pendant 2 minutes et repart.
Power metal :
Le protagoniste arrive chevauchant un cheval blanc, le dragon s'enfuit,il sauve la princesse et la baise dans une forêt enchantée.
Thrash metal : Le protagoniste arrive, combat le dragon, sauve la princesse
et la baise facilement et rapidement.
Folk metal : Le protagoniste arrive avec des amis flûtiste, accordéoniste
et violoniste, le dragon s'endort (dû à toutes ces danses) et quitte sans la
princesse.
Viking metal :
Le protagoniste arrive en bateau, tue le dragon avec une hache, le cuisine pour le manger, viole la princesse à mort et vole le château avant
de le brûlé en quittant.
Death metal :
Le protagoniste arrive, tue le dragon, baise la princesse et la tue.
Black metal :
Le protagoniste arrive à minuit, tue le dragon et le pend devant le château, sodomise la princesse, bois son sang dans un rituel avant de la tuer et pend à son tour la princesse.
Gore metal :
Le protagoniste arrive, tue le dragon en répandant ses entrailles devant le château, baise la princesse et la tue, rebaise le corps mort, tranche son estomac pour en bouffer les tripes, rebaise la carcasse pour une 3eme fois, brûle le cadavre et la rebaise une dernière fois.
Gothic metal :
Le protagoniste arrive, observe la taille du dragon et réfléchis au fait qu'il ne pourra jamais le battre, devient dépressif, se suicide et le dragon mange son corps ainsi que la princesse.
Progressive metal :
Le protagoniste arrive avec une guitare et joue un solo de 26 minutes, le dragon se tue lui-même par ennui, le protagoniste arrive près du lit de la princesse, joue un autre solo qu'il eut apprit durant sa dernière année de conservatoire, la princesse s'enfuit et va chercher le protagoniste heavy métal.
Glam metal :
Le protagoniste arrive, le dragon rit de son apparence et le fait entrer, vole le maquillage de la princesse et essaie de peindre les murs du château en rose.
Industrial metal :
Le protagoniste arrive avec un trench-coat, fait des gestures obscène au dragon, et se fait escorter hors du château par la sécurité.
Metal à chanteuse :
La protagoniste arrive, elle chante pour le dragon en prenant des poses sexy, elle entre dans le château après avoir un peu caressé l'animal, elle arrive devant la princesse, la trouve moche, lui pique sa robe, lui pique sa place et attend que le batteur de son groupe vienne la délivrer selon la méthode de son choix.
Neo metal :
Le protagoniste arrive, il flippe du dragon alors il reste devant les douves en faisant des gestes obscènes à la princesse. Il repart dans la forêt se masturber.
Metal mélodique :
Le protagoniste arrive en tenue d'elfe et en jean moulant, il fait une déclaration au dragon qui l'emmène sur son dos dans une autre contrée pour convoler en justes noces. La princesse se caresse seule avec le pommeau de son miroir.
Hard rock :
Le protagoniste arrive en short avec une casquette. La princesse se casse degoutée et le dragon passe une bonne soirée en sautant partout.
Grind metal :
Le protagoniste arrive, crie quelque chose de complètement inaudible pendant 2
Power metal :
Le protagoniste arrive chevauchant un cheval blanc, le dragon s'enfuit,il sauve la
Thrash metal :
Folk metal :
Viking metal :
Le protagoniste arrive en bateau, tue le dragon avec une hache, le cuisine pour le
Death metal :
Le protagoniste arrive, tue le dragon, baise la princesse et la tue.
Black metal :
Le protagoniste arrive à minuit, tue le dragon et le pend devant le château, sodomise la princesse, bois son sang dans un rituel avant de la tuer et pend à son tour la princesse.
Gore metal :
Le protagoniste arrive, tue le dragon en répandant ses entrailles devant le château, baise la princesse et la tue, rebaise le corps mort, tranche son estomac pour en bouffer les tripes, rebaise la carcasse pour une 3eme fois, brûle le cadavre et la rebaise une dernière fois.
Gothic metal :
Le protagoniste arrive, observe la taille du dragon et réfléchis au fait qu'il ne pourra jamais le battre, devient dépressif, se suicide et le dragon mange son corps ainsi que la princesse.
Progressive metal :
Le protagoniste arrive avec une guitare et joue un solo de 26 minutes, le dragon se tue lui-même par ennui, le protagoniste arrive près du lit de la princesse, joue un autre solo qu'il eut apprit durant sa dernière année de conservatoire, la princesse s'enfuit et va chercher le protagoniste heavy métal.
Glam metal :
Le protagoniste arrive, le dragon rit de son apparence et le fait entrer, vole le maquillage de la princesse et essaie de peindre les murs du château en rose.
Industrial metal :
Le protagoniste arrive avec un trench-coat, fait des gestures obscène au dragon, et se fait escorter hors du château par la sécurité.
Metal à chanteuse :
La protagoniste arrive, elle chante pour le dragon en prenant des poses sexy, elle entre dans le château après avoir un peu caressé l'animal, elle arrive devant la princesse, la trouve moche, lui pique sa robe, lui pique sa place et attend que le batteur de son groupe vienne la délivrer selon la méthode de son choix.
Neo metal :
Le protagoniste arrive, il flippe du dragon alors il reste devant les douves en faisant des gestes obscènes à la princesse. Il repart dans la forêt se masturber.
Metal mélodique :
Le protagoniste arrive en tenue d'elfe et en jean moulant, il fait une déclaration au dragon qui l'emmène sur son dos dans une autre contrée pour convoler en justes noces. La princesse se caresse seule avec le pommeau de son miroir.
Hard rock :
Le protagoniste arrive en short avec une casquette. La princesse se casse degoutée et le dragon passe une bonne soirée en sautant partout.