LE MENSONGE DE NOËL ET SON ÉVOLUTION
Un peu de clarté du point de vue croyance sur la période de Noel qui est un mensonge...et même les médias se sentent "obligés" de dire que c'est pas très honnête... ! ! !
Outre l'orgie commerciale que représente cette fête, comme nombre d'autres d'ailleurs. La fête : nous devons en être maître ! Pour changer le monde, il ne suffit pas de dénoncer, il faut le faire à partir d'une certaine vision et non d'une rhétorique du chatouilli ? Sans quoi, on n'entame pas de changement profond dans un sens existentiel.
« La célébration de Noël (du latin natalis dies, jour de la naissance) était ignorée des premiers chrétiens. Elle apparaît au IVe s. quand une partie des chrétiens, jusqu'alors quelquefois persécutés, mais toujours très mal vus ...ils se trouvent évidemment en concurrence avec les religions dites païennes. Dans le cas de Noel, il s'agit pour l'Eglise de donner à ses fidèles une homologie chrétienne de la fête paienne du solstice d'hiver, où sont célébrés pêle-mêle, selon les régions, les dieux locaux : Mithra, Saturne, Apollon, etc. Fête très populaire célébrée le 25 décembre... d'où la nécessité de l'église de dévier cette fête pour récupérer les fidèles et grossir le nombre de ses ouailles.
Mais pourquoi fêter la naissance d'un mortel, d'un homme -"le seul anarchiste qui ait réussi" (sic Malraux)- alors qu'il fut considéré comme un gêneur en conviant la société à changer de fond en comble ? En effet, l'homme Jésus n'a-t-il pas été éliminé par le sanhédrin, c'est à dire le groupuscule religieux de son époque dont le clergé catholique est le pendant ? Et à sa suite, les premiers chrétiens ne furent-ils pas persécutés ou ostracisés parce que les pouvoirs, empereur romain en tête, avaient compris que le message de l'homme Jésus promouvait une société en processus de libération, l'évolution vers le Bonheur planétaire à partir d'une pratique individuelle du bien ne pouvant pas se développer sans liberté totale. En fait, l'homme Jésus, n'avait fondé ni confirmé aucune religion avec son système pyramidal, ses lois, ses interdits, ses dogmes et superstitions. Il n'avait proposé que la vie spirituelle libre, sur la base de l'amour et de la justice pour refaire le monde sur des bases ontologiques (c'est à dire partant de l'Homme ; par/pour/avec l'Humain). Or, un peuple qui se prend en main pour la félicité de toute la communauté humaine n'a pas besoin de gouvernants, parce que, la seule justification de ceux-ci est de défendre le peuple contre mal ; ils ont donc besoin que le mal existe. Un peuple en marche radicale de libération spirituelle et sociale n'a plus besoin de religion, système dont l'identité avec le pouvoir civil est frappante puisque toute religion a besoin que le péché existe ou perd sa raison d'être en ne dominant plus sur les esprits.
Que faire de Noël dans l'évolution du monde vers un liberté totale ? Eh bien, tout logiquement, le faire retourner à la fête païenne qu'il était avant le IV s. car la religion qui le célébrait ne pouvait que perdre sa crédibilité tôt ou tard. La religion quitte Noël, mais Noël demeure... alors comme on détourne la pub, on peut détourner Noel en lui donnant enfin du sens pour que les sans-abris, les sans-amour, les sans-... retrouvent une terre accueillante qui commence dans le coeur de chacun. N'est-ce pas le moment d'inviter à partager les biens, à redistribuer les valeurs, de réfléchir nos actes à partir de l'amour comme pulsion de la raison, du pardon comme piste de sortie de la vengeance sans fin, de la paix, ... bref, de la liberté spirituelle radicale vécue comme sagesse populaire.
C'est l'homme qui se transforme pour construire avec d'autres des types de sociétés à visage humain. C'est une question d'actes et non de croyance si bien que cela concerne n'importe qui :chrétien, juif, musulman ou athée -l'étiquette n'a pas d'importance- afin de faire comprendre au travers de son propre exemple, qu'en changeant en bien, l'homme ne change pas que pour lui-même ou pour la joie de ceux qu'il aime, mais il commence à changer le monde à la racine car c'est l'homme qui fait l'histoire.
Texte plagié sur http://vulgum.org/
Des valeurs abstraites et inexistantes...
On fête quoi finalement à part la naissance d'un type qui n'a jamais posé le pied sur Terre? (il marche sur l'eau) ... que du vent !
L'Homme ne serait-il bon qu'un jour par an [et tout ça pour des fables] ?
C'est bien d'être bien (comme de faire le bien) [Aaaargh!], mais sans cette éternelle hypocrisie qui penserait à devenir "humain" un jour par an [à part L'abbé Pierre et Lady Diana...]?
« La célébration de Noël (du latin natalis dies, jour de la naissance) était ignorée des premiers chrétiens. Elle apparaît au IVe s. quand une partie des chrétiens, jusqu'alors quelquefois persécutés, mais toujours très mal vus ...ils se trouvent évidemment en concurrence avec les religions dites païennes. Dans le cas de Noel, il s'agit pour l'Eglise de donner à ses fidèles une homologie chrétienne de la fête paienne du solstice d'hiver, où sont célébrés pêle-mêle, selon les régions, les dieux locaux : Mithra, Saturne, Apollon, etc. Fête très populaire célébrée le 25 décembre... d'où la nécessité de l'église de dévier cette fête pour récupérer les fidèles et grossir le nombre de ses ouailles.
Mais pourquoi fêter la naissance d'un mortel, d'un homme -"le seul anarchiste qui ait réussi" (sic Malraux)- alors qu'il fut considéré comme un gêneur en conviant la société à changer de fond en comble ? En effet, l'homme Jésus n'a-t-il pas été éliminé par le sanhédrin, c'est à dire le groupuscule religieux de son époque dont le clergé catholique est le pendant ? Et à sa suite, les premiers chrétiens ne furent-ils pas persécutés ou ostracisés parce que les pouvoirs, empereur romain en tête, avaient compris que le message de l'homme Jésus promouvait une société en processus de libération, l'évolution vers le Bonheur planétaire à partir d'une pratique individuelle du bien ne pouvant pas se développer sans liberté totale. En fait, l'homme Jésus, n'avait fondé ni confirmé aucune religion avec son système pyramidal, ses lois, ses interdits, ses dogmes et superstitions. Il n'avait proposé que la vie spirituelle libre, sur la base de l'amour et de la justice pour refaire le monde sur des bases ontologiques (c'est à dire partant de l'Homme ; par/pour/avec l'Humain). Or, un peuple qui se prend en main pour la félicité de toute la communauté humaine n'a pas besoin de gouvernants, parce que, la seule justification de ceux-ci est de défendre le peuple contre mal ; ils ont donc besoin que le mal existe. Un peuple en marche radicale de libération spirituelle et sociale n'a plus besoin de religion, système dont l'identité avec le pouvoir civil est frappante puisque toute religion a besoin que le péché existe ou perd sa raison d'être en ne dominant plus sur les esprits.
Que faire de Noël dans l'évolution du monde vers un liberté totale ? Eh bien, tout logiquement, le faire retourner à la fête païenne qu'il était avant le IV s. car la religion qui le célébrait ne pouvait que perdre sa crédibilité tôt ou tard. La religion quitte Noël, mais Noël demeure... alors comme on détourne la pub, on peut détourner Noel en lui donnant enfin du sens pour que les sans-abris, les sans-amour, les sans-... retrouvent une terre accueillante qui commence dans le coeur de chacun. N'est-ce pas le moment d'inviter à partager les biens, à redistribuer les valeurs, de réfléchir nos actes à partir de l'amour comme pulsion de la raison, du pardon comme piste de sortie de la vengeance sans fin, de la paix, ... bref, de la liberté spirituelle radicale vécue comme sagesse populaire.
C'est l'homme qui se transforme pour construire avec d'autres des types de sociétés à visage humain. C'est une question d'actes et non de croyance si bien que cela concerne n'importe qui :chrétien, juif, musulman ou athée -l'étiquette n'a pas d'importance- afin de faire comprendre au travers de son propre exemple, qu'en changeant en bien, l'homme ne change pas que pour lui-même ou pour la joie de ceux qu'il aime, mais il commence à changer le monde à la racine car c'est l'homme qui fait l'histoire.
Texte plagié sur http://vulgum.org/
Des valeurs abstraites et inexistantes...
On fête quoi finalement à part la naissance d'un type qui n'a jamais posé le pied sur Terre? (il marche sur l'eau) ... que du vent !
L'Homme ne serait-il bon qu'un jour par an [et tout ça pour des fables] ?
C'est bien d'être bien (comme de faire le bien) [Aaaargh!], mais sans cette éternelle hypocrisie qui penserait à devenir "humain" un jour par an [à part L'abbé Pierre et Lady Diana...]?