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Dimanche 25 décembre 2005 à 13:14








LE MENSONGE DE NOËL ET SON ÉVOLUTION

Un peu de clarté du point de vue croyance sur la période de Noel qui est un mensonge...et même les médias se sentent "obligés" de dire que c'est pas très honnête... ! ! !


Outre l'orgie commerciale que représente cette fête, comme nombre d'autres d'ailleurs. La fête : nous devons en être maître ! Pour changer le monde, il ne suffit pas de dénoncer, il faut le faire à partir d'une certaine vision et non d'une rhétorique du chatouilli ? Sans quoi, on n'entame pas de changement profond dans un sens existentiel.

« La célébration de Noël (du latin natalis dies, jour de la naissance) était ignorée des premiers chrétiens. Elle apparaît au IVe s. quand une partie des chrétiens, jusqu'alors quelquefois persécutés, mais toujours très mal vus ...ils se trouvent évidemment en concurrence avec les religions dites païennes. Dans le cas de Noel, il s'agit pour l'Eglise de donner à ses fidèles une homologie chrétienne de la fête paienne du solstice d'hiver, où sont célébrés pêle-mêle, selon les régions, les dieux locaux : Mithra, Saturne, Apollon, etc. Fête très populaire célébrée le 25 décembre... d'où la nécessité de l'église de dévier cette fête pour récupérer les fidèles et grossir le nombre de ses ouailles.

Mais pourquoi fêter la naissance d'un mortel, d'un homme -"le seul anarchiste qui ait réussi" (sic Malraux)- alors qu'il fut considéré comme un gêneur en conviant la société à changer de fond en comble ? En effet, l'homme Jésus n'a-t-il pas été éliminé par le sanhédrin, c'est à dire le groupuscule religieux de son époque dont le clergé catholique est le pendant ? Et à sa suite, les premiers chrétiens ne furent-ils pas persécutés ou ostracisés parce que les pouvoirs, empereur romain en tête, avaient compris que le message de l'homme Jésus promouvait une société en processus de libération, l'évolution vers le Bonheur planétaire à partir d'une pratique individuelle du bien ne pouvant pas se développer sans liberté totale. En fait, l'homme Jésus, n'avait fondé ni confirmé aucune religion avec son système pyramidal, ses lois, ses interdits, ses dogmes et superstitions. Il n'avait proposé que la vie spirituelle libre, sur la base de l'amour et de la justice pour refaire le monde sur des bases ontologiques (c'est à dire partant de l'Homme ; par/pour/avec l'Humain). Or, un peuple qui se prend en main pour la félicité de toute la communauté humaine n'a pas besoin de gouvernants, parce que, la seule justification de ceux-ci est de défendre le peuple contre mal ; ils ont donc besoin que le mal existe. Un peuple en marche radicale de libération spirituelle et sociale n'a plus besoin de religion, système dont l'identité avec le pouvoir civil est frappante puisque toute religion a besoin que le péché existe ou perd sa raison d'être en ne dominant plus sur les esprits.

Que faire de Noël dans l'évolution du monde vers un liberté totale ? Eh bien, tout logiquement, le faire retourner à la fête païenne qu'il était avant le IV s. car la religion qui le célébrait ne pouvait que perdre sa crédibilité tôt ou tard. La religion quitte Noël, mais Noël demeure... alors comme on détourne la pub, on peut détourner Noel en lui donnant enfin du sens pour que les sans-abris, les sans-amour, les sans-... retrouvent une terre accueillante qui commence dans le coeur de chacun. N'est-ce pas le moment d'inviter à partager les biens, à redistribuer les valeurs, de réfléchir nos actes à partir de l'amour comme pulsion de la raison, du pardon comme piste de sortie de la vengeance sans fin, de la paix, ... bref, de la liberté spirituelle radicale vécue comme sagesse populaire.

C'est l'homme qui se transforme pour construire avec d'autres des types de sociétés à visage humain. C'est une question d'actes et non de croyance si bien que cela concerne n'importe qui :chrétien, juif, musulman ou athée -l'étiquette n'a pas d'importance- afin de faire comprendre au travers de son propre exemple, qu'en changeant en bien, l'homme ne change pas que pour lui-même ou pour la joie de ceux qu'il aime, mais il commence à changer le monde à la racine car c'est l'homme qui fait l'histoire.

Texte plagié sur http://vulgum.org/

Des valeurs abstraites et inexistantes...
On fête quoi finalement à part la naissance d'un type qui n'a jamais posé le pied sur Terre? (il marche sur l'eau) ... que du vent !

L'Homme ne serait-il bon qu'un jour par an [et tout ça pour des fables] ?
C'est bien d'être bien (comme de faire le bien) [Aaaargh!], mais sans cette éternelle hypocrisie qui penserait à devenir "humain" un jour par an [à part L'abbé Pierre et Lady Diana...]?


Publié dans Affections virales

Par maud96 le Dimanche 25 décembre 2005 à 13:47
Beaucoup de choses vraies dans ton article... Bisous, et merci du tag !
Par VaN-der-kruZifiX le Dimanche 25 décembre 2005 à 13:53
La religion chrétienne a récupéré beaucoup de symboles païens, elle n'a rien inventé...
Noyeux Nowel à toua aussi [mais pas trop noyeux non plus]
Par Awah.Foundation le Lundi 26 décembre 2005 à 11:44
de toute façon le christiannisme c'est pas un modèle d'honneteté ....
Par atom-of-the-end le Lundi 26 décembre 2005 à 12:55
c'est la fête de l'humilité et on se gave comme des oies.
Boarf jsuis fan de bonne bouffe et de boissons a bulles alors j'm'en fou en fait :D
Par ankou le Lundi 26 décembre 2005 à 14:03
"On fête quoi finalement à part la naissance d'un type qui n'a jamais posé le pied sur Terre?"

J'vais mettre mon grain d'sel là dedans, mais les historiens sont tous d'accord pour affiermer que Jésus de nazareth a bel et bien existé. Il y a des preuves autre que la bible.

En revanche, s'il était ou non le fils de Dieu...
Par Samantha.c4 le Lundi 26 décembre 2005 à 16:38
Et les historiens ont toujours raison, même malgrès leurs nombreuses bourdes, dont cette triste histoire concernant le cheval de jules césar siègeant au sénat. Bref, on a plus de chance que jésus n'ait effectivement jamais existé, qu'on cherche dans la Bible ou dans le tombeau où il n'a jamais séjourné.
Par Satyricon le Lundi 26 décembre 2005 à 17:25
"Bref, on a plus de chance que jésus n'ait effectivement jamais existé, qu'on cherche dans la Bible ou dans le tombeau où il n'a jamais séjourné"

Raisonnment ne tenant hélas pas, que Jésus ait réellement existé ou soit un personnage conceptuel ne change STRICTEMENT rien...quoique...par cette désincarnation supplémentaire (fils d' une vierge donc non homme, etc, etc...) le Christ obtient un coté abstrait qui renforcera son coté mythifié et la portée unversaliste de son propos.
Qui plus est par ta même phrase pointant les erreurs des historiens on pourrait alors tout aussi bien soutenir que les sources historiques mis en avant pour réfuter l' existence du Christ.

Faudrait aussi que je retrouve cette interview du religieux parlant du site http://www.bible.chez-alice.fr/" onclick="window.open(this.href); return false;">http://www.bible.chez-alice.fr/ comme meilleure recueil de blagues pour les séminaristes...
Par Samantha.c4 le Lundi 26 décembre 2005 à 17:27
c'est vrais, mais on n'a fait que lire objectivement la Bible :D
Prouvez moi que ce mec a existé avant tout.
Par Satyricon le Lundi 26 décembre 2005 à 17:41
Premiére erreur, tu as lu objectivement la Bible, tu es une vilaine menteuse, en ce sens que si tu avais été objective tu aurais aussi bien trouvé preuve de l' existence que de l' inexistence.

Deuxiéme erreur; juger des apparitions de Jesus dans les ecrits de ses contemporains alors que les éléments apocryphes ou non de la Bible furent eux-même écrit plus tard et il est tout simplement fort peu probable qu' il ait été un élément semblant hors du commun à l' époque (il existait bien d' autres orthodoxies juives);

Troisiéme erreur, celle là est plus grave. Que les Christ ait existé ou pas, je le répéte, importe peu, puisque c'est la nature transcendante de son être et son enseignement qui le définissent avant tout. Le Havamal avait-il moins de force pour les scandinaves parce c' est Odin, un personnage "fictif" qui les dictai? (au passage il existe dans l' Edda poétique un récit présentant Odin et se sfréres comme mortels avant de devenir des Dieux);Est ce que la philisophie de Socrate a moins de force en sachant que c'est un personnage conceptuel élaboré par Platon?
Dans les deux cas, non.

Quatriéme erreur, au niveau de l' historiographie. Le fait que le Bible est la résultante de croisements de divers courants est quelque chose de connu depuis le moyen-âge. S' en étonner témoigne d' une ignorance des mécanismes historiques où rien ne se perd, rien ne se créé, tout se recycle. Cela appuierait même son poids historique. De même s' étonner des approximations et des contresens pour un ouvrage élaboré il y a moins de 2000 ans est d' une mauvaise foi absolue.
Par Samantha.c4 le Lundi 26 décembre 2005 à 17:46
Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, loin de la... (la Bible je ne l'ai même pas lu entièrement c'est dire...)
... que je suis une vilaine menteuse par contre ça... bref... je suis bornée en plus.
En 4 points ou en 40, Jésus ne tient pas la route.
Par hallucinogene le Jeudi 29 décembre 2005 à 13:24
En 4 points ou en 40, Jésus ne tient pas la route.

Pourquoi ?
Il a trop abusé de vin ?
Par Samantha.c4 le Jeudi 29 décembre 2005 à 23:46
faut croire...
 

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