Luttant contre ma dimension de grosse feignasse (dimension qui prend encore plus d'ampleur une fois le repas englouti), me voici, pour la première fois devant vous, sur ce blog qui n'est pas le mien. Les ascètes larvaires les plus perspicaces de cowblog que vous êtes sûrement, à défaut de reconnaître mon coup de clavier, reconnaîtront sans nul doute mon coup de crayon., il est donc inutile de me présenter… et ceux qui se sentent incapable de coller le pseudo de votre maître à tous sur ces quelques mots ainsi que sur cet illustre et succulent dessin n'auront qu'à aller se faire foutre.
Répondant donc à l'appel, aux rappels divers et variés de notre chère Samantha qui ne cesse de me harceler, ainsi qu'à une tentative de corruption qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd (tu dois m'envoyer un pack de bière de dégustation sinon t'auras pas l'original), et afin de faire enfin l'effort de poster chez cette tordue (histoire de lui rendre la politesse, elle qui l‘a si souvent fait chez moi), je me décide à vous balancer ( ‘toute façon faut tout faire soi-même ici) et ce, afin de compléter la collection de bites-champêtres de la propriétaire de ce blog, ce dessin qu'elle me réclame depuis...heu... Bref.
Quant au titre, n'y voyez aucunement une quelconque analogie avec les utilisateurs de cow, j'ai trop de respect pour les phallus et pour les vaches.
Et le premier con qui demande qui est l'auteur de cet article, je le lapide à coups de figues, bande de sous-merdes.