En cette période sportive baignant dans la sueur sous un soleil torride, il me vient à nouveau une question, se représentant tous les 4 ans (un peu comme à chaque fin de mandat présidentiel d'un Bush)
J'ai toujours cru que l'adoration au football tenait plus de la secte et d'un sentiment nationaliste exacerbé qu'une passion réelle pour le sport, mais à bien y songer, cela ressemble bien à du fétichisme !
Depuis des dizaines de génération on nous impose l'idée que « le foot c'est l'école de la vie » et le ballon rond est l'idole d'une secte dont le grand gourou est Zidane… mais qu'est-ce que cette secte pour le supporteur, mis à part s'extasier devant des athlètes qui prennent des douchent communes après avoir tirer des coups dans l'équipe adverse ?
Observons le supporteur pendant un match : frustration aux buts manqués, comme un rapport sexuel tenant du tire avorté, jouissance extrême à l'opposé, et quand son équipe se prend un but il a mal aux rectum…
Ne voyez vous pas la lueur dans les yeux du spécimens à l'approche du match ? La seule idée de voir tous ces hommes avec leurs grandes chaussettes le fait saliver d'envie.
Il est clair et net que le plaisir engendré par ce sport de canapé tient de la sexualité, ne serait-ce déjà qu'au sens freudien du terme, et d'avantage encore…
Sans aller jusqu'au fait que toucher la coupe du monde à pu mettre en érection plus d'un joueur (de même les sponsors devant les rapports d'audience et les scores…) regardez ce ballon… la sphère originelle de tout. Le ballon est la base de cette adoration, ce fétichisme refoulé. Tel une vénus callipyge, il est la mère d'un fantasme inavoué à travers un nationalisme sportif à outrance.
Alors, homosexualité refoulée chez des milliers de machos fétichistes amateurs de bière et de partou… [pardon] … « réunion de joyeux tringleurs » [ou « trivial poursuite »] ou simple humour vengeur de personne exacerbée qui ne supporte plus les supporteurs?
J'ai toujours cru que l'adoration au football tenait plus de la secte et d'un sentiment nationaliste exacerbé qu'une passion réelle pour le sport, mais à bien y songer, cela ressemble bien à du fétichisme !
Depuis des dizaines de génération on nous impose l'idée que « le foot c'est l'école de la vie » et le ballon rond est l'idole d'une secte dont le grand gourou est Zidane… mais qu'est-ce que cette secte pour le supporteur, mis à part s'extasier devant des athlètes qui prennent des douchent communes après avoir tirer des coups dans l'équipe adverse ?
Observons le supporteur pendant un match : frustration aux buts manqués, comme un rapport sexuel tenant du tire avorté, jouissance extrême à l'opposé, et quand son équipe se prend un but il a mal aux rectum…
Ne voyez vous pas la lueur dans les yeux du spécimens à l'approche du match ? La seule idée de voir tous ces hommes avec leurs grandes chaussettes le fait saliver d'envie.
Il est clair et net que le plaisir engendré par ce sport de canapé tient de la sexualité, ne serait-ce déjà qu'au sens freudien du terme, et d'avantage encore…
Sans aller jusqu'au fait que toucher la coupe du monde à pu mettre en érection plus d'un joueur (de même les sponsors devant les rapports d'audience et les scores…) regardez ce ballon… la sphère originelle de tout. Le ballon est la base de cette adoration, ce fétichisme refoulé. Tel une vénus callipyge, il est la mère d'un fantasme inavoué à travers un nationalisme sportif à outrance.
Alors, homosexualité refoulée chez des milliers de machos fétichistes amateurs de bière et de partou… [pardon] … « réunion de joyeux tringleurs » [ou « trivial poursuite »] ou simple humour vengeur de personne exacerbée qui ne supporte plus les supporteurs?