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Mardi 1er août 2006 à 14:36


          Se loger à Paris, c'est merveilleux, une ville pleine de charme, de diversité, de restaurants issus du monde entier, des monuments, des musés, des gens, des pouffes affublées de sac Vuitton et des mandants dans toutes les rues…

          Le studio de 17m² merveilleux dans un appartement magnifique du 7ème arrondissement à seulement 385€ charges comprises, j'en ai envie comme on peut vouloir un réseau immense de train électrique dans le jardin de ses parents quand on a 7 ans – quoique depuis mes allers-retours à paris ces derniers temps je déteste les trains – enfin imaginez la joie qui peut emplir quelqu'un à l'idée d'acquérir un tel studio, sachant qu'en plus il a un besoin vital d'avoir un logement, de préférence celui-la, qui offre un trajet direct en métro vers sa putain d'école privée dans le 11ème. Pour faire simple, ce studio c'est l'endroit idéal, pour ce que je cherche je ne pouvais pas trouver mieux. Enfin si un F2 de plus de 30m² avec vue sur le sacré cœur à 100€ par mois, mais le fantasme ne s'accorde pas toujours avec le monde réel.

          Mais pour loger dans cette ville merveilleuse, il faut constituer un dossier, et moi, grosse andouille que j'ai pu être, je ne le savais pas, personne ne me l'avait dit. Alors trouver une bonne âme dans ma famille qui voudra bien se porter caution, voilà mon nouveau problème, car à chaque problème à moitié résolu s'en succède un nouveau. Pendant des mois on m'a répété de ne m'occuper de rien, qu'on verrait plus tard. Aaaaargh ! Mais quel con, mais quel con, mais quel con !

          Pour se loger, il ne faut pas que du fric. Il faut surtout rassurer le propriétaire, le convaincre que quoiqu'il arrive il y aura toujours une source d'argent. Et moi, c'est mon père qui paye le loyer… mais non, ça ne suffit pas un médecin chercheur aux US. Forcement, s'il arrête de payer il est hors d'atteinte de l'autre coté de l'atlantique. Nan, il faut un bon français, de préférence étanche, et de préférence capable de m'envoyer les bons papiers correctement, et vite… et merde, j'ai pas ça dans mon panier.

         Le miracle financier qui aurait pu me décrocher les joies de la location serait que mon père accepte de payer l'année en une fois, mais naturellement, ce n'est pas possible.

Publié dans Egologie

Mercredi 5 juillet 2006 à 23:01

J'ai eu un bac que je ne pensai pas avoir il y a quelques jours, ou alors grâce au rattrapage, et encore... Me voilà donc sortie du lycée à courir après une école où aller.

Pour glander un an de plus, en attendant de savoir quoi faire, je me disais que ça ne serai pas trop perdre mon temps de faire une L1 mention culture et communication ou de sciences humaines…

Me sentant plus que paumée face à l'inattendu, je pataugeais beaucoup avant-hier, heureusement, suite à une discussion avec un démon, je patauge beaucoup moins, ce qui est une bonne chose car je n'ai pas le temps de me poser trop de question. Grâce à cette discussion donc, mes vieux projets ont émergés de ma mémoire:

A 16 ans, quand je suis entrée au lycée, j'ai eu la mauvaise surprise de découvrir que le lycée où j'étais ne proposait pas l'option art que j'avais coché sur ma demande d'inscription, option dont j'ai besoin pour faire des études supérieures dans ce domaine. Autant dire que j'étais mal. Pourtant c'était proposé sur la feuille à remplir… mais non, ça n'existait pas. Je me suis fait avoir.
Du coup, j'ai préparé un plan très précis des études que je devrais faire, comptant sur une année de prépa art pour intégrer les études à faire afin d'accéder au métier que je veux faire depuis le collège.
Malheureusement le sort a voulu que je fasse l'impasse sur le beau programme préparé dès l'entrée en seconde, un programme qui a toujours fait tirer la tronche aux conseillers d'orientation [d'habitude les élèves ne savent pas ce qu'ils veulent faire, moi j'avais des ambitions trop restreintes, trop précises, je savais quelle école, quel métier, comment. Autant dire que la communication ne passait pas, surtout si c'était pour me suggérer de faire les mêmes études de merde que tout le monde] Pour des raisons irraisonnables, j'ai voulu suivre mon grand amour de l'époque (un mec de 6 mon aîné [un plan cul qui a mal tourné, se transformant en relation « sérieuse »] m'avait proposé de vivre avec lui) me retrouvant ainsi (pour le suivre) sans lycée pour faire ma terminale littéraire. J'ai du faire une réorientation pour poursuivre ma scolarité. Ainsi je me suis retrouvée là où je réside aujourd'hui. Le cauchemar pour faire simple. Après une année de STI AA (Sciences et Techniques Industrielles – Arts Appliqués) je me réoriente à nouveau pour faire enfin ma terminale L, que je redouble l'année d'après au CNED, pour en arriver là où j'en suis aujourd'hui.
Tout cela m'a fait quelque peu perdre l'optimisme (questions études, parce que l'optimisme n'a jamais été une caractéristique chez moi) et l'ambition que j'avais. J'ai oublié ce que je voulais faire comme cursus, dieu merci (quoique ce n'est pas l'expression qui se prête le mieux au contexte) quelques mots avec le démon m'ont remis en mémoire qu'à 16 ans j'avais décidé de faire une classe prépa [Ce que j'aime bien avec les classes prépa, c'est qu'on recommande de faire des vérifications sur celle-ci comme s'il s'agissait d'une secte. Et en plus c'est toujours privé, donc payant… saloperie !] pour passer le concours permettant d'entrer à Angoulême pour faire un DNAP communication mention bande dessinée. [‘tain ! Comment j'ai fait pour oublier tout ça moi ?]
J'espère que cette lamentable erreur « de jeunesse » va disparaître de ma vie quotidienne en quittant cet endroit maudit [putain de ville fantôme de merde !]


La morale de cette histoire : ne jamais, jamais, jamais, jamais, JAMAIS faire confiance à un homme. (D'autres aurait dit qu'il est bon de persévérer)


Voilà, j'ai le bac, il ne me reste plus qu'à trouver une prépa
… et pas une année de MANAA (Classes de mise à niveau arts appliqués) comme on me l'a tant de fois proposé, ça serait continuer de m'encroûter à Chaumont pour minimum 3 ans de plus, vue qu'après je serais tout naturellement conduite vers leur super BTS si j'ai pas la motivation de devenir styliste ou architecte ou autres métiers qui ne m'intéressent pas. C'est quand même con, la ville où je réside n'a rien pour les études supérieures mis à part ces quelques BTS, dont certains de graphisme et de communication visuelle. Mais comme par hasard, n'ayant aucun intérêt pour moi. Peut importe ce que je veux faire je dois partir, moi ça ne me gène pas, c'est juste mon père qui doit tirer la gueule (c'est tellement économique ici…)

Sachant que je ne peux pas espérer trouver autre chose que ces écoles pour mes études supérieures,
- Ecole Européenne Supérieure des Arts et Techniques de l'Image - DNAP communication mention bande dessinée
Angoulême/Poitiers
 - Ecole Supérieure des Arts Saint-Luc – baccalauréat arts visuels option bande dessinée
Bruxelles/Liège
-    École Émile-Cohl (privé) - titre homologué par l'état
Lyon.
... le mieux est que je fasse ma classe préparatoire à Paris ou à Lyon.

Si ce cursus réussi, je pourrai par la suite glander en auditeur libre dans une quelconque fac de sciences politique et sociale. Ce n'est pas que je suis avide de scolarité, mais plutôt des connaissances dont j'aurais probablement besoin à l'avenir.

Publié dans Egologie

Lundi 3 juillet 2006 à 20:12

M*1*3*3*52    C***** Samantha Alice Stephanie    06/07/1985    ADMIS

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Dimanche 2 juillet 2006 à 14:34

Ah la fameuse soirée américaine tant attendue, dans la ville si sympathique qu'est Chaumont. Un bon geste des commerçant pour animer une ville où il ne se passe rien, et des larges discours publicitaires entre les festivités pour les divers commerces de la ville, publicités entrecoupées par quelques représentation musicales, et soirée américaine oblige, nous avons entendu quelques vieux tubes de Brigitte Bardo, Johnny Hallyday, ou encore « j'ai des petits problèmes dans ma plantation, pourquoi ça pousse pas ? » le tout interprété par un chanteur qui aurait mieux fait de devenir mime.

Nan franchement, dans le genre minable, j'ai rarement vu pire. Vous savez ce que c'est pour un haut marnais une soirée américaine mis à par passer du Johnny Hallyday ? Manger des portions de fritte dans des barquettes en plastique. Il y a certes tout l'océan atlantique entre les Etats-Unis d'Amérique et la France, mais là on était bien plus loin que ça de la culture américaine. Au final, ça ressemblait surtout à une soirée à thème « beauf ». Enfin, je suis contente, le défilé auquel Cécile a participé m'a permit de mater quelques filles en string*

… jusqu'à ce que je me décide à quitter les lieux étant donné que c'était franchement chiant. De la musique horrible, de la fumée de cigarette partout, et des mères au foyer qui laissent traîner leurs chiards partout. Les fêtes en ville, c'est vraiment de la merde

Publié dans Egologie

Lundi 26 juin 2006 à 17:09

Hier me vint une idée génita... géniale alors que j'étais chez Morgoth et que nous croûtions joyeusement... bref... :
créer des peluches entre 1,5 et 2 mètres en forme de bite.

Cela pourrait bien illustrer mon article précédant, et combler pas mal de monde. C'est une vision très cyniquede la tendresse, certes. Mais en même temps cela fera tellement tendance posé sur un canapé dans votre salon.



Voici donc l'idée: ouvrir un Sex Shop plus proche du magasin décoratif ou de jouet. Pas de vidéos zoophile, juste des organes génitaux à exposer chez soit parmi d'autres sex toy plus classiques.
Si cela peut paraitre tordu comme idée, moi je suis certaine que ça ferait un carton dans n'importe quel quartier très fréquenté à Paris.

Publié dans Egologie

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