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Jeudi 18 octobre 2012 à 23:13

Soirée banale. On regarde Fringe, un personnage perturbe les appareils électriques (normal) et là PAF, plus d'électricité dans tout le quartier. Ils sont quand même doués ces cobayes.

Publié dans Egologie

Jeudi 10 novembre 2011 à 14:48

Il y a fort fort longtemps, enfin du moins aussi loin que j'en ai la trace, c'est à dire début Septembre 2010, un chaton roux caché derrière les roues d'une voiture garée dans le quatorzième arrondissement sorti de la pénombre pour aller se frotter aux jambes d'une dame.

Ce chaton, qui n'était déjà pas spécialement petit pour l'idée qu'on se fait d'un chaton (et qui a depuis doublé ou triplé de volume) fut accueilli dans un foyer et ne manqua pas de terroriser les chiens de chasse et de berger dès son arrivée. Vous avez déjà vu un bull terrier et un berger alsacien battre en retraite à cause d'un chaton qui crache ? Voilà pour l'image.
Outre cela, le chaton est étonnamment social. Personne n'a été éviscéré quand nous lui avons donné un bain, même s'il a tout de même tenté de s'enfuir, cela va de soit.

Evidemment, il y avait un avis de recherche pour la bête dans le quartier, et nous l'avons rendu à sa maîtresse.

Quelques jours plus tard nous retrouvons le dit chaton au pied de l'immeuble. Alors plutôt que de commencer une série de retours à l'envoyeur et cumuler les chances d'accidents sur la route, nous décidons de le garder.

Une période difficile suivi pendant laquelle cette saloperie de boule de poils exprimait son mécontentement en pissant sur le lit quand par exemple sa litière n'était pas assez propre. Période durant laquelle je bataillai légèrement pour qu'on ne castre pas la bête et où il fallait expérimenter divers marques et formes d'alimentations pour trouver ce qu'il accepte de manger sans faire la gueule. Finalement le chat a arrêté sa campagne urinaire. Dommage qu'il n'ait pas arrêté par la même occasion son offensive d'élimination des tissus à coup de griffes sur mon fauteuil adoré, dont j'ai dû recoudre la housse depuis.

Confortablement installé, le chat a adopté un rituel quotidien marquant les heures et les endroits où il a l'habitude de dormir ou de glander. Très indépendant comme un chat digne de ce nom, il ne manque pas de suivre comme un chien en laisse les personnes susceptibles de lui donner à manger une ou deux plombes avant que l'heure de la gamelle sonne. Ou quand il semble s'emmerder. Il campe la sortie des toilettes quand on y va. Ce qui n'est pas aussi perturbant que de le voir autant sur le dos à divers occasions, et fuyant se faufiler sous les couvertures du lit quand il y a un livreur.

Particulièrement gentil, ce chat évite de sortir les griffes quand on joue avec lui, ce qui tombe bien vu qu'elles sont particulièrement tranchantes et que je n'ai pas envie de les lui couper. Par contre, il mord. Je pense souvent qu'il nous faudrait un gant de fauconnier.

Cette boule de poils a passé tout l'été a chasser des mouches, et il s'amuse parfois à tendre des embuscades à l'occasion... je ne sais pas comment ce chat a vécu durant le peu de temps qu'il a dû être dans la rue, mais je sais que les propriétaires de chats reçoivent souvent des petits animaux morts de la part de leurs compagnons félidés. Néanmoins je ne peux pas dire à quel point j'étais horrifiée hier quand notre chat a rapporté un oiseau dans la chambre. Heureusement pour ma santé mentale, l'oiseau était encore vivant et a pu reprendre son envol... après avoir forcé le chat à lâcher prise. La proie n'y aura laissé littéralement que quelques plumes.

C'est là que je me rend compte des bien faits retiré de toutes ces heures de jeux. D'un coté le chat sait chasser, aucun doute là dessus. De l'autre, à force de me faire mordre j'ai appris la technique du doigt dans la gueule pour qu'il desserre sa mâchoire. Etrange, mais cela fonctionne à chaque fois.

En conclusion, en situation critique la technique du doigt inséré est une fois de plus à retenir.

Publié dans Egologie

Mercredi 20 avril 2011 à 6:25

Le temps passe tellement vite sans que je prenne l'embarras de me soucier de choses élémentaires.
Je suis sincèrement désolée. J'ai arrêté de consulter pendant longtemps ma boîte e-mail et de me connecter à MSN (et autre) et cela me touche que des personnes que j'ai rencontré via internet se soient soucié de mon sort. J'aurai dû leur répondre, mais je n'avais pas vu leurs messages à l'époque. Maintenant c'est un peu tard, vous avez disparus pour la majorité. Alors à défaut de pouvoir répondre individuellement je tente l'ancienne approche, mais je doute qu'elle fonctionne mieux.
Le courrier que ce soit électronique ou pas, n'a pas été une chose évidente pour moi depuis 2008. D'ailleurs ce n'est toujours pas le cas, pas la peine d'essayer de m'envoyer une vraie lettre par la Poste je ne risque pas de la recevoir... Pour une raison obscure j'ai perdu tous les contacts du registre MSN pendant que je ne m'en servais plus. Sur le moment je m'en fichais. Désolée...

Publié dans Egologie

Dimanche 9 novembre 2008 à 19:05

S'il y a bien une chose dont j'ai du mal à ne pas m'étonner dans ce qui sert de communauté sur cowblog.fr, c'est d'apprendre que des gens prennent la peine de parler de moi, et sans mon intervention. Cela me surprend certes mais bon c'est bien normal (quoique...) Après tout je participe à la grande distribution d'histoires glauques à l'occasion, surtout quand il y a beaucoup de sécrétions et de pwals.

J'étais partie pour demander quelle était l'origine de l'histoire concernant une fellation dans un parc caché derrière un sac à main mais... laissons courir, si je n'en connais pas l'origine au moins je pourrais peut-être voir si ça va devenir une tournante dans un sac à main.

Publié dans Egologie

Jeudi 19 juin 2008 à 17:36

    Comme on nous l'a souvent martelé à l'école, toute couleur se trouvant dans un dégradé entre le rouge et le jaune est une couleur joyeuse et énergique. Positive attitude oblige...
Oui, altérer le rouge pur dans l'ignominie jaune dénote la joie, l'euphorie, l'envie de courir tout nu dans la prairie.

Et c'est justement à cela qu'on reconnait le sale déviant asocial et dépressif : il ne porte pratiquement que du noir (et en plus, il a les cheveux longs)

Son seul deuil doit être celui de cette conception de la bienséance : avoir l'air sympa avec les cons. Malheureusement, et on fera la découverte de la source de son potentiel dépressif, les instigateurs de ces règles pigmentaires suivent une règle plus simple et plus réaliste : le poids du nombre.

Voilà, tout ce blabla inconséquent pour poster une photo en souvenir d'une expérience foireuse :





Et j'aime pas le jaune.

Publié dans Egologie

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