Dimanche 7 janvier 2007 à 13:26
Il était une fois, dans un royaume fort lointain, enfin ça dépend d'où on conte cette histoire, une jeune femme aux charmes certains, grande guerrière au service de la liberté des mœurs et contre l'obscurantisme des âmes névrosées, qui se nommait Morwen. Bien qu'héroïne valeureuse auprès de ses amis, elle n'avait ni beauté époustouflante, ni voix ensorcelante, ni bonté bienveillante. Cette jeune femme dont nous contons l'histoire n'était même pas la fille d'un grand roi et ne résidait pas dans un château d'or et d'argent, et n'avait pas non plus le cœur pur tant affectionné chez les personnes valeureuses des légendes racontées aux enfants.
Morwen était une héroïne dédaignée de son monde, et aucune fée n'avait été invitée à son baptême pour l'inscrire dans un destin fabuleux d'épouse rayonnante de mille qualités d'un valeureux souverain.
Cependant, cette jouvencelle méprisée de la noblesse d'esprit comme de sang, allait confondre son destin à celui des plus grandes princesses de ce temps.
Un coup du sort fort étrange, d'une malédiction fit de la demoiselle en latex l'heureuse victime d'un destin redessiné en contrepartie des bourdes d'une fée négligente, qu'elle pu prendre de ses mains opportunistes pour prendre sa revanche d'une vie qui lui était refusée d'essence.
C'est en effet d'une malédiction que Morwen enchanta son avenir, au détriment de la destinée du monde calculée dans les registres administratifs de la haute féerie, et en voici la pénible histoire…
C'est ainsi que la jeune femme attendit pendant de nombreuses années de son profond sommeil le baiser d'un prince charmant, qui la réveillant un jour lui permettra d'empiéter sur la destinée de son royaume, et de pourrir tout le monde.
Dimanche 26 novembre 2006 à 19:13
C'est donc par l'aide angélique du Saint Jack Daniel's que Niurf avait quitté le foyer de ses premiers jours sous l'aile d'un livreur suintant la perversité sous sa panoplie beauf.
[V] rejoignit son compagnon bien longtemps après d'un air satisfait, comme soulagée d'avoir modifié la géographie. C'est seulement après un bon bain, quelques séances de coït et un repas synonyme de traumatisme émotionnel chez un nutrioniste que cette mère étouffée par l'instinct maternel s'aperçu de l'absence de ses migraines causée par les cris infantiles. « Tu as déjà posé l'isolant ? » s'étonna-t-elle.
« Ben écoutes heu… en fait j'ai donné Niurf au livreur qui semblait avoir une profonde affection pour les enfants. Il sera sans doute plus heureux et grandira dans un environnement plus stable que si, enfin tu vois c'que j'veux dire quoi….
- Quoi ? Tu m'as arraché mon enfant de son foyer natale ? la chaire de ma chaire, mon sang, ma petite fille, ma Niurf a qui j'ai consacré tant de temps pour son éducation pour ne pas en faire une abrutie complètement niaise comme on en voit tant ici, et toi tu as osé mettre en péril tout ce travail et m'enlever le seul enfant que j'ai jamais eu ???
- Je t'offrirai un poisson rouge pour te consoler ma petite chose adorée…
- C'est vraiiiis ? »
L'expression horrifiée de [V] laissa place sur ces derniers mots à la joie puérile de l'enfant émerveillée par un matin de noël.
Après avoir installé le nouveau locataire nommé « Darky » dans son aquarium par son heureuse propriétaire dans l'ex-chambre de Niurf, le couple dépravé pris la direction de la Taverne avec Morwen qui revenait de sa bar-mitsva en compagnie d'un troll fort bien membré pour fêter le ravalement de façade opéré sur un petit cartier dévasté dans l'après-midi.
Et là, c'est le drame…
Au milieu de l'absorption de plusieurs litres de bière, sans que personne ne pu comprendre pourquoi, Morwen s'écroula sur la table au milieu des canettes vides, en laissant la sienne rouler sur le sol.
Cette scène pathétique rappelant la pauvre pucelle gothopouffesque assommée par une kro conduisit Morgoth dans une série de ricanements mesquins. Bien sur il termina sa bière, pas de gaspillage… Mais au bout de quelques heures, quand il phallus repartir et que Morwen refusait d'émerger de son profond coma à la déception du troll en rut et malgré les coups de pieds de ses amis qu'on pris enfin conscience que la jeune femme en latex était victime d'un coma éthylique.
Etant donné les nombreux hématomes qu'on lui avait infligé pour la réveiller et la tentative de viol par le troll qui était tout de même un peu trop visible, il fut décidé d'abandonner discrètement Morwen devant l'hôpital, ce après quoi les parents libérés regagnèrent leur foyer lubrique tandis que le troll parti se masturber seul dans les sous-bois.
Et ils vécurent heureux et n'eurent plus jamais d'enfant.
Vendredi 24 novembre 2006 à 22:45
Pendant que [V] broyait joyeusement tout un quartier, le livreur avait enfin décidé de quitter le bistro pour accomplir sa tache de livraison. Il ne restait plus sur place que Morgoth pour accueillir l'homme assoiffé, n'ayant pas bu depuis plus de 20 minutes. L'ôte étant lui-même un grand amateur d'éthyle reconnu immédiatement le manque mélancolique dans l'œil de l'individu. Surtout que le type lorgnait avec insistance sur le vieux jack trônant au milieu de la pièce. L'homme repris quelque peu ce qu'il avait d'esprit, et demanda au maître des lieux s'il pouvait faire taire le bébé qui pleurait dans la pièce voisine. Ces cris résonnaient comme des coups frénétiques de hache dans le chaos de son crâne. Et oui conduire ou choisir il faut boire, et boire, c'est MAL !
Morgoth se dirigea donc vers la chose putride en prenant au passage un biberon d'une chose écœurante qu'on a coutume d'appeler lait. C'est là qu'il lui vient une idée assombrissante : il remarqua que le livreur l'avait suivi dans la chambre de l'enfant en bas age et le regardait sucer son biberon avec un intérêt pervers dans les traits de son visage. Il devina sans peine la chance qui s'offrait à lui : ce livreur alcoolique en manque était pédophile.
Quoi de mieux pour se débarrasser d'un enfant indésiré que de le céder à un homme qui les aimait au plus profond de lui ? Avec une bouteille pour son silence dans le cas où il se ferait attraper par les forces de l'ordre en plus…
Vendredi 24 novembre 2006 à 22:41
Dimanche 12 novembre 2006 à 19:45
Morgoth fut alors pris de l'envie insoutenable de se rendormir, alors que sa compagne l'agressait sauvagement par des frottements frénétiques de vulve sur sa cuisse. Après plusieurs tentatives de signifier à sa petite chose lubrique d'aller se faire chier dans la bouche en allemand par Goldice et quelques parades défensives pour ne pas se faire arracher les tétons à coup de griffe, Morgoth se laissa sombrer sous les coups de langue s'acharnant sur son frein.
Vous-vous imaginiez peut-être un putain de réveil d'abruti avec une envie de pisser vous évacuant d'un utérus d'alcôves pour vous évacuer aux latrines et finir d'ouvrir les yeux devant un petit déjeuner de merde au milieu des vapeurs nauséabondes d'haleine matinale ?
C'est donc après une baise frénétique post croissants, croûtage lubrique et repas semi gargantuesque devant la chaîne animaux que ces deux protagonistes fêlés entamèrent une nouvelle période de croûtage, non sans tripotage , parce que croûter c'est bien, mais avec un(e) bite/fesse/vulve/sein en main/bouche/hamster/orifice c'est mieux !
Ah croûter… se réveiller le matin… enfin l'après-midi… et n'avoir absolument rien à faire… (à part quelques coïts de temps en temps, cela va de soit) What a bliss !
Lorsque [V] renversa pour la 3ème fois quelque chose de liquide sur la couche, elle quitta [enfin] ces lieux où le couple pouvait vivre en autarcie et en parfaite assonance pendant plusieurs jours… du moment qu'elle ne renversait rien !!! Autant dire que cette hibernation se produisait rarement. La peur des foudres de Morgoth était tout de même moteur de bien des retraites. Là en l'occurrence il s'agissait d'une retraite salle de bain (une pièce avec un verrou)
Exercice : La distance de la retraite étant proportionnelle au diamètre de la tache produite, exception faite de la cyprine, et sachant que pour une tache d'un diamètre approximatif de 5cm [V] se précipite se laver à 4 mètres de là, quelle tache ne doit pas faire [V] si elle ne veut pas devoir demander l'asile politique au Yémen ?
Et oui cette journée commence mal. Soyez rassurés, cela va continuer. D'autant plus que cela fait 8 heures que Niurf braille de l'autre coté de l'antre lubrique pour qu'on vienne la nourrir et accessoirement la changer. Heureusement [V] a justement commandé de l'isolant pour couvrir les murs. D'ailleurs le livreur ne devrait pas tarder… mais là n'est pas la question, il faut encore baiser !!! Et puis on peut toujours compter sur les livreurs pour arriver en retard.
Le temps du coït purgatoire fut malheureusement écourté par l'arrivée fourbe d'une saloperie de raclure d'hémorroïde emballée dans du latex attirée par l'odeur de la cyprine, soit disant pour la réunion des Obsédés Sexuels Anonymes.
Et voilà, Morgoth avait débandé, ah ben bravo !
[V] avait atteint un niveau de stress que seul un acte cruel et d'une sauvagerie barbare pouvait apaiser. Il était advenu nécessaire de mettre à l'œuvre le grand potentiel belliqueux à disposition de cette créature vindicative. Quelqu'un allait devoir payer pour cette frustration sexuelle…
Voyant le ton que prenait la situation et se disant qu'elle n'avait pas encore assez baisé dans sa vie, Morwen suggéra à [V] de passer ses nerfs sur les signataires de la pétition de la dernière fois… non pas celle pour retirer les nains de jardins partouzeurs autour de la maison, ni celle pour ne plus tailler les buissons en forme de phallus… oui voilà celle apportée par la fée avant de rendre l'âme (ainsi que sa dignité anale)
Sur cette suggestion Morwen pris la fuite prétextant se rappeler qu'elle devait aller masturber le premier type qu'elle croiserait à la bar-mitsva d'un troll des forêts à 15km de là. [V] pris donc la direction du commerce tenu par Latelament « au matelot suintant – sexe shop et armurerie »
« Beuar.
- Laisse moi deviner : tu veux une bite !
- … du même model que celle qui a tué Groumf. Avec une tête nucléaire dans le gland.
- Un boulet tenace ?
- Nan, j'avais envie d'essayer autre chose que la roquette kekette. C'est pour un ami qui a eu la gentillesse de m'offrir un curseur bite… avant de faire venir une mite géante chez moi.
- T'as ta carte de fidélité ?
- Non. Tant pis mon dildo offert sera pour la prochaine fois. »
Une heure et demi plus tard, la Newsletter avait trouvé ses gros titres pour les semaines à venir…