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Jeudi 6 mars 2008 à 3:33

On s'éloigne de plus en plus du sujet, mais cette idée de phallus jouant à la pétanque était tellement tordue qu'il fallait la réaliser.



Question: est-ce que malgré leur condition pénienne ces joueurs arriveront à atteindre le cochonnet ?...

Publié dans Maladie orpheline

Lundi 3 mars 2008 à 5:55

Je savais bien qu'un film finirait par sortir sur la fin du monde. Laquelle ? Celle de 2012 chers profanes, et non je ne parle pas de la réélection de Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République Française, mais bien du 21 décembre 2012, équinoxe marquant la fin du cycle annuel, jour où la Terre est au point le plus lointain de l'astre solaire dans sa course... quant à l'année, il faudra réétudier les prédictions mayas pour comprendre la raison de cette fin du monde à cette date, et aussi leurs calculs ça ne ferait pas de mal. Mais essayons un peu de deviner, la Terre va quitter son orbite ?


Voilà donc 2012 Doomsday, un titre recherché avec toute l'ardeur d'un producteur (ou d'un scénariste en grève) qui devait se faire chier autant que s'en foutre. Dans ce film apocalyptique - quoi que je me demande si le thème de l'apocalypse concerne plutôt le fond ou plutôt la forme de ce film - tout a une concordance désolante qui semble découler telle des tares génétiques du mariage entre Fantasy à base de théologie recomposée et exploitation ratée d'un concept de scénario catastrophe dégluti, avec entre autres :
- Des dialogues qui n'ont d'égale que la performance divertissante de cette production (j'ai rarement vu des films d'action qui font autant chier dès les trois premières minutes) Exemple:
    Just because you don't see it or believe, it doesn't mean it's not true. [...]
    - You see good people die every day... and you still believe in God ?
Et c'est avec ce genre de base argumentative qu'on arrive à trouver que c'est un bon film chrétien (retirez deux lettres)
- Des réflexions qui cherchent leur pertinence dans un public (car il y a un public pour tout) à la cervelle délavée dans le mysticisme.
- Une fréquence alpinique de problèmes techniques qui ne décroit à aucun moment. Personnellement c'est la première fois que je vois un bouche-à-bouche sur une personne à qui on laisse la bouche fermée, et une pluie d'énormes grêlons qui n'égratignent même pas la carosserie du véhicule filmé (mais qui tue quand même le conducteur avec le seul grêlon qui passe à travers le pare-brise)
- Le budget que même en hypothéquant le système de sécurité de la Société Géniale tu peux faire mieux.


Cette histoire inintéressante au possible présente la quête de quatre abrutis à Mexico le 21 décembre 2012 (jour de l'apocalypse théo-géo-écologique) un temple avec des vielles reliques chrétiennes antérieures à l'arrivée de Christophe Colomb (ouais, et même que Jésus Christ est venu dans l'Amérique Antique) des interrogations sur la foi et l'existence de Dieu, des gens malades, une rotation de la terre qui ralentit, une météo douteuse, et des tremblements de terre qui font plus bouger la caméra que les plantes locales...
Les personnages quant à eux, sont assez peu recherchés, voir carrément limités. Si on a la pouffe qui crève pendant le film, nous n'avons pas de héros charismatique (ou même asthmatique à défaut) Non, à la place nous avons Suzanne, une blonde athée pessimiste hyper émotionnelle dont la citation pourrait être la vie est injuste donc Dieu n'existe pas... Sarah (livrée avec en bonus un journaliste, soit un type avec un appareil photo) une autre blonde, et missionnaire avec ça... Frank, un espèce d'archéologue à l'allure beauf qui se retrouve au milieu d'une prophétie en train de se réaliser, et ça le fait bander... Son épouse, une salope avec un accent et un t-shirt rose qui fait son boulet en se blessant le dos (connasse) et qui est trop crédible dans son rôle de femme qui a déjà eu le temps de se marier, de quitter son conjoint et de le retrouver après all this time sans passer par la case Début de Vieillissement. En gros c'est la gonzesse qui meurt... Et puis il y a bien sûr le père de Sarah, ce type qui lui dit au téléphone depuis le début du film de se réfugier ailleurs - mais on se demande bien à quoi ça peut servir si comme le film le dit c'est la merde sur l'ensemble de la planète - qui finalement rejoint sa fille au moment ou celle-ci amène une autochtone accoucher pendant l'apocalypse (et ça tombe bien, il amène avec lui Suzanne, qui est médecin) dans le temple ou se trouve Frank qui lui, était en train de se faire reluire le crucifix.


Bah quand même, ça aurait été plus fun qu'elle accouche de l'Antéchrist. Mais de toutes façons on ne voit même pas le nouveau-né... il faut dire qu'arrivé à la fin du scénario il n'y a même plus assez de fric pour louer un baigneur.
Non mais sans déconner, c'est une parodie de quoi ce film, à part des demeurés concernés ? Si vous voulez voir un film théologique qui soulève des questions plus intéressantes sans perdre votre temps, regardez plutôt Dogma.

Publié dans Affections virales

Vendredi 22 février 2008 à 14:14

Le Vicomte et "les laisons dangereuses",
à consommer sans critique.







La défonce sans OGM,
à rajoutais aux cinq fruits et légumes par jour.

Petite remise en contexte :

Pourquoi rajoutais "Langue De" devant le mot qui à lui seul aurais qualifier ce que tu es ^^
Notre protagoniste le 21/02/2008 à 00:16
 
Qui je suis? Celle qui vous met en garde. Tu ne sais qui tu viens de traiter de "pute" toi, mais tu vas vite le savoir .
Une Ancienne le 21/02/2008 à 17:28
 
je n'ai traité personne de pute ^^ alors remballez vos menaces! Trouvez moi un eul endroit ou je dis ouvertement ce mot et là vous pourrez revenir sur MON blog me faire des menaces et dire des inepties et autant de choses grotesques que tu voudras!
Notre protagoniste le 21/02/2008 à 17:51


    Ce qui est désolant ici c'est que toi, petit rebelle de masse saisisseur de perches lamentables, tu n'as même pas l'art de prendre les gens pour des cons. J'ai déjà répondu à ta question si innocente qu'elle se formule avec une conjugaison à faire pleurer, mais je pense qu'il est nécessaire de développer un peu tout ça. Après tout si tu a été capable de poster un tel message, c'est que tu dois être bien con. Un blog se rapporte d'abord à la parole d'une personne avant celle-ci, et même si un étendard représente quelqu'un, ce n'est pas cette personne en chaire et en os, de ce fait ces deux malheureux mots ont leur place devant le mot pute pour souligner que le blog est un ensemble de propos, paroles qui ne se limitent pas à l'activité de suceur cybernétique, qualité que vous devez apprécier chez ceux qui n'ont pas la carrure de mon titre, et surtout entre vous (les pondeurs siamois aristocrates et la deuxième couille de votre sainte trinité) vu la quantité de salive que vous vous étalez mutuellement. Mais tout ceci n'était qu'une vulgaire occasion de me renvoyer à la définition du mot qui suffirait à qualifier ce que je suis... Langue de... langue de quoi ? Ah mais bien sûr, le vicomte venait justement de rappeler la pertinence du titre Langue de pute. Mais quel jeux de piste ! On ne serait jamais parvenu à découvrir le sens caché de ta remarque tout seul. Même un modérateur n'y entendrait rien, c'est sur !
    Passons à la remarque sur-entendue. Puisque le seul mot pute suffit pour titre de mon blog, projection cybernétique de ma personne, laisse-moi te faire part d'une simple remarque: comme je l'ai fait savoir à l'analphabète vicomte qui se défend de ne pas être écrivain pour justifier sa façon d'écorcher le langage qu'il emploie, mon titre a pour fonction d'être bien porté... et de permettre aux enfonceurs de portes ouvertes de se faire plaisir. Quelle classe... du haut de mon statut de pute, c'est-à-dire de prostituée, j'ai plus de noblesse que tu ne seras jamais capable d'en faire preuve, mais tu dois t'en foutre, d'autant plus que tu prends plaisir à nier les petites remarques que tu as certainement pris autant de plaisir à formuler (ah ah je n'ai pas cité le mot magique ^^ je suis un génie ^^) ... Je te laisse donc dans la fange - et il est clair que pour s'abaisser à faire des remarques aussi pitoyables, tu dois bien t'y rouler - du haut de mes pavés, au moins je suis à niveau avec la civilisation et les gens qui font preuve d'un peu moins d'hypocrisie ouverte. Ce n'est pas grand chose certes, mais c'est préférable à l'existence des porcs inscrits au club des cons fiers de l'être et autres égocentriques démesurés sans consistance.




Les siamois pondeurs,
à prendre en amuse-bouche.

    On avait bien compris à quel point le pseudo aristocrate de cowblog appréciait dispenser ses opinions et jouir de sa médiatisation (on a l'habitude de voir des blogs de merde squatter le top 10) - que ce soit en jalousant un président honoré de ses critiques familières de façon névrosée, ce qui va très bien avec l'ensemble du blog, ou simplement par besoin de confession, car comme il a été souligné le prêtre est au régime des 35 heures - tout en se fichant royalement de se qui se pense en dehors de sa bulle, expression qui ne pouvait être mieux attribuée face à des gens si transparents et si fermés... qui a dit et si vide aussi ?
    Bien qu'il ait la capacité de réclamer sa liberté d'expression (tout en gratifiant le blog test d'un bannissement) on peut se demander à quoi bon jouir de ce droit si ce n'est que pour se complaire dedans en solitaire, le tout dans une longue masturbation intellectuelle dénuée de neurones actifs, la chose justifiant en plus cet à priori disant en gros que plus ça pond moins ça pense. Preuve en est aussi de cette prétention à nous apprendre à parler français entre deux exclamations Jésus ! mal employées - à l'image de ce personnage perdu dans la c0wmunauté ayant autant de crédibilité qu'un imam en string - et majestueusement noyées au milieux de réflexions grotesques autant par le fond que par la forme. L'aristocratie ne semble pas plus être allé à l'école élémentaire qu'à l'ENA.
    En bref, il n'y a aucun partage ni aucune possibilité de débat dans ces discours de comptoir (comme par exemple ceux qui se veulent politiques et qui tiennent plus du potin misérable, comme le cowblog à vocation humoristique ratée parodiant Nicolas Sarkozy) et les soit-disant réponses que ce blogger a la générosité de nous faire part n'en sont pas. Autrement dit il n'y a pas la moindre possibilité d'engendrer une réflexion nécessaire à la diffusion d'une idée, à part celle d'une ouverture d'esprit assortie au QI de l'animal associé à ce blog dont le droit d'expression - dont l'utilisation ressemble plus à l'activité d'un troll - n'a de légitimité qu'auprès de la loi. Et encore...




La boite de Nelizpute,
périmée depuis décembre 2007.

    Ah Nelizpute... contente de voir que tu ne t'es toujours pas étouffée en riant de notre bêtise. Désolée de voir à quel point tu es toujours aussi pitoyable, si ce n'est plus. Le choc du nouvel an peut-être... à moins que ce ne soit cette boite de pandore qui une fois ouverte, laissant échapper au monde l'immensité de ta connerie ne te laisse que l'espoir de t'en sortir, et de quelle manière messieurs dames ! Encore une qui nous prend pour des cons...
    Tiens, en parlant des choses sur lesquelles ont se plante quand on ose te juger, à savoir la description que tu tires Morgoth ne me ressemble pas du tout tu parles de quoi dans la remarque ce sera toujours la même chose poilue, baveuse, grasse et conne, tout comme avant. ? Te serais-tu donc lavé les cheveux ? A moins que tu n'aies décidé de débroussailler de ses ronces ton rempart de chasteté, tu sais celui qui nous empêche de voir ta beauté intérieure. Mais bien sur qu'on se trompe, tu es une brave fifille va. Le facteur X c'était juste pour rire.
    Mais voilà, après avoir affiché sa gueule sur le myspace affilié au blog qu'elle prétend ne pas entretenir, ouvert sur cowblog en même temps qu'elle a prétendu quitter cette plateforme, Nelizpute clame haut et fort ne pas avoir de lien - Bien sur, le concept est totalement différent ça crève les yeux bande de profanes ! - avec le nouveau blog nelizputien. Schizophrénie ou Mythomanie ? De toutes les pathologies qu'elle peut cumuler je ne saurai trancher. Et paranoïaque qui plus est, croyant qu'on écume son blog, limite qu'on la surveille. La simple idée qu'on puisse reconnaitre sa patte sans devoir s'enfiler l'ensemble de son blog ne l'effleure pas, mais bon c'est normal pour une idée, comme pour un être humain sobre d'ailleurs...















Mercredi 20 février 2008 à 20:20



 

Publié dans Psychoses

Jeudi 14 février 2008 à 21:21



 
    Voilà une tradition d'autant plus débile qu'on en a perdu l'origine. Il parait qu'aujourd'hui c'est la Saint Valentin, la fête d'un type qui n'a à priori rien à voir avec celle à laquelle on l'accroche. Quoi d'étonnant de toutes façons, après avoir lu l'article {38} vous devriez bien savoir que le sentiment amoureux vous vaudra la damnation. Et de toutes façons notre fête des fiancés est aussi abjecte que Noël (ouais j'ai l'esprit contestataire de merde, à la différence près que je me fout de l'aspect commercial, c'est l'aspect chrétien hypocrite de merde que je vomis) Et tout comme ce gouffre à fric ayant réduit les lutins en esclavage, la fête de Cupide Don prend ses racines oubliées dans des traditions païennes dont plus personne n'a rien à branler, quoiqu'en cette journée Cul Pidon en fait fourrer à la pelle.
    Ne croyez pas que je crache sur la Saint Valentin parce que je suis aigrie ou parce que je suis furieuse d'endurer ce festival de la prostitution emballé dans la niaiserie toute seule. Dire du mal de la consécration du 14 février me gonfle, comme lire tous les articles monstrueusement aussi pertinents qu'élaborés qui sont publiés à l'occasion de chaque fête importante - Pâque suivra quand on aura enfin des clodos déguisés en lapins dans les centres commerciaux pour poser en photo avec les enfants - de notre calendrier La Poste. Mais je me suis tout de même fait le maillot par esprit de solidarité avec toutes ces gourdasses qui espèrent suivre la tradition avec la même perfection dont certaines rêvent avec utopie pour le plus beau jour de leur vie: leurs mariages de merde.
    Parlons plutôt cadeau, puisque c'est bien de ça qu'il s'agit. Dans notre bon vieux couple hétérosexuel - du moins quand l'un des partenaires que l'on ne citera pas n'a pas la délicatesse de rompre deux jours avant pour se remettre en couple après la date fatidique dans le but de faire des économies - c'est toujours vers l'individu mâle qu'on se tourne pour y voir la responsabilité de faire un cadeau (même si sa partenaire est aussi supposée y mettre de sa poche dans ce domaine) d'offrir le restaurant, de choisir le programme romantique dont l'individu femelle rêve. Qu'en est-il du couple homosexuel ? Est-ce que l'un des partenaires (ou les deux) va s'offrir une tenue froufroutante pour faire cadeau de son cul ? (après avoir reçu son collier à cœurs) Saint Valentin, fête du pognon pour les fleuristes, bijoutiers et chocolatiers... Heureusement qu'aux États-Unis on fête l'amour pour tous, y compris les amis (ça augmente le chiffre d'affaire) comme ça tout le monde peut se sentir con-cerné par tous ces anges en plastique qui montrent leurs fesses. Fête à la con... demain sera un autre jour: la célébration des "qu'est-ce qu'on t'a offert pour la Saint Valentin?" car rien de tel que le plaisir d'offrir sa personne pour une tradition aussi débile que la journée de la femme.

Bonus spécial 14 février :


La Pine Up de la Saint Valentin.

Voilà, toi aussi tu viens d'avoir ton super cadeau de la Saint Valentin. Et toi qu'as-tu offert pour avoir la conscience tranquille ?










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