Je viens de l'apprendre, des scientifiques ont décidé de voir s'il était possible de booster du sperme de nos couilles atrophiées pour permettre la fécondation d'un ovule. Comme le steak aux hormones ou encore les fraises de type OGM, je pense que ce n'est pas un projet aussi farfelu que de créer un trou noir. Le plus intéressant serait bien sûr de permettre à des espèces en voie d'extinction de se régénérer. Oui vous savez, ces bestioles à la con qui ne peuvent plus survivre seules dans leur environnement, dû à l'évolution naturelle ou à l'impacte d'autres espèces présentes de façon moins naturelle. Oui c'est de l'assistanat, et l'assistanat c'est MAL. Mais je m'éloigne... le sperme donc, des gamettes qui seront boostées aux hormones pour pouvoir fonctionner, pourrait-être celui d'une femme voulant avoir un enfant avec une autre femme, ou encore un anaforme, ou que sais-je encore, un hermaphrodite pourquoi pas. Le must restant l'auto-fécondation, très utile pour les espèce en voie d'extinction je vous le répète. Mais bon j'en ai entendu parler d'une façon très portée sur la cause homosexuelle, alors lachons nous, envoyez les gonzesses qui se roulent des pelles sur TF1 et les intégristes homophobes avec, ça boustera nos imaginations atrophiées de bloggeurs en attendant que cela soit nos organes reproducteurs (les hommes ne faites pas les timides, vous aussi avez des ovaires qui n'attendent qu'un peut d'attention des sponsore du tour de France)
Ce qui me gène dans tous ces sujets touchant à l'éthique, c'est quand même une certaine incohérance entre tout ce qu'il faut penser pour être quelqu'un de bien. Voyez vous, nous devons respecter les gens et leurs choix dans leurs existences. On nous incite à donner de l'argent à des associations luttant pour la survie d'handicapés (humains, pingouins, même combat) ce qui est à l'encontre de l'idée selon laquelle nous devons respecter la nature, et donc la séléction naturelle (de quoi le dernier couple de grands pingouins ? C'était de la légitime défense!) On nous dit aussi qu'il faut manger bio pour sauver la planète et rester en bonne santé. La santé, ce moteur de la survie, passerait donc par le respect de ce que veut mère nature... mais dans ce cas, pourquoi la médecine ? Si on ne veut pas bouffer d'OGM et de viande aux hormones faudrait peut être arreter de se faire irradier pour le moindre cancer. Séléction naturelle vous dis-je ! Laissez donc crever ceux qui ne sont fait pour s'épanouire dans la nature. Et arretez de favoriser la naissance de nouveaux humains tarés avec vos idées de grossesses assistées, avec vos fécondation in vitro et j'en passe. Non mais franchement, manger bio et s'injecter des hormones pour ovuler plus (ou éjaculer plus) Si c'est pas contradictoire, alors je veux bien admettre que les bobos ne sont pas tous des cons.
Mercredi 3 décembre 2008 à 8:11
Publié dans Hémorragie cérébrale
Jeudi 30 octobre 2008 à 3:05
... chiantes, stupides, prétentieuses et dangereuses pour la société.
Etouffée par une convention sociale de merde qui veut que nous résistions à nos pulsions barbares et vindicatives de foutre des grosses mandales à nos abrutis de contemporains, je me libère enfin, tentant d'expier toute ma frustration née de ma volonté de rester politiquement correcte par une grande saignée de colère.
La oh combien sainte mère est une icône dans notre culutre, et bien souvent une pauvre conne dans l'espèce humaine. Mais voilà, nous pauvres jeunes ou que sais-je encore de sous-merdes qui n'ont pas commis cet acte noble de "donner la vie", nous ne sommes pas des mères, nous n'élevons pas d'enfants, nous ne comprenons rien et sommes dépassés par cette transcendance qui fait que toute critique à l'encontre de la mère est blasphématoire. Les mères sont des Intouchables (ha ha)
Mais oui, c'est sur que pondre un gamin relève de l'exploit. Bien sur que se rendre responsable de l'existence de quelqu'un donne une supériorité sur le reste du genre humain, parce que prendre la décision qu'on sera apte à préparer un membre de l'équipe qui paiera notre retraite à l'existence de merde qui lui est promise grace au reste de nos exploits, ça c'est digne du prix nobel. Pour ce qui est de l'élever on se demande parfois si la maman sait de quoi elle parle. Cela doit faire partie des nombreux conceptes qui dépassent les gens capables de prendre de telles décisions et d'adopter par la suite un comportement abjecte avec ses semblables qui ne le sont plus, c'est bien naturel.
Mais pire que tout, on a la mère célibataire. Cette emmerdeuse de première catégorie qui décide de se reproduire avec le plus abruti de tous ceux qu'elle a réussi à trouver et qui soit surtout assez débile pour ne pas connaitre l'usage et l'intéret d'un préservatif ou d'une vasectomie. Cette pauvre victime de son existence, qui se complait sans arrêt dans ses plaintes, qu'elle est seule, que c'est difficile, que ceci et que cela. Et que c'est dur d'élever un enfant, de vivre avec l'argent des assedics quand on n'a pas de travail, et que les autres ne peuvent pas comprendre, leurs problèmes sont si infimes comparé avec cette grande aventure qu'est de construire un nouveau raté sur Terre. Là dessus la mère célibataire entretient le plaisir de cette activité très répendue qui conciste à se valoriser socialement et s'attribuer des mérites (sur des critères que je trouve personnellement douteux) par le mépris et le rabaissement de ceux qui ne partagent pas la situation dans laquelle ils se sont mis, voir enlisé avec fierté.
Je commence sérieusement à en avoir marre de ces connasses mal baisées qui se trouvent tellement intouchables parce qu'elles ont fait sortir un boulet de plus de 3 kg par leurs vagins. J'en ai ma claque de constater à quel point la mère célibataire type passe son temps à se plaindre qu'elle se demmerde (ou pas) seule et qu'elle n'a pas d'aide (à par souvent de l'argent) pour au final sortir crocs et griffes si jamais une quelconque intervention externe dans sa mission de parent arrive sans qu'elle le demande, car au final elle est comme tous les cons qui ne demandent pas qu'on les aide, mais qu'on soit à leur disposition (et par l'occasion qu'on respecte sa construction de l'enfant roi : futur connard) Et bien sur, j'en ai marre que les gens persistent à affirmer qu'on n'a pas à donner son avis sur des choses que l'on ne vie pas personnellement. C'est anticonstitutionnel et ne rejoins que le constat qui précède.
Et tiens tant qu'à parler de ce que la constitution française rédigée il y a plusieurs siècles me donne droit, je pense et je l'exprime, du haut de mon statut défini par ma catégorie sociale de sous-merde, née libre et égale en droits : on devrait stériliser bien des gens.
Etouffée par une convention sociale de merde qui veut que nous résistions à nos pulsions barbares et vindicatives de foutre des grosses mandales à nos abrutis de contemporains, je me libère enfin, tentant d'expier toute ma frustration née de ma volonté de rester politiquement correcte par une grande saignée de colère.
La oh combien sainte mère est une icône dans notre culutre, et bien souvent une pauvre conne dans l'espèce humaine. Mais voilà, nous pauvres jeunes ou que sais-je encore de sous-merdes qui n'ont pas commis cet acte noble de "donner la vie", nous ne sommes pas des mères, nous n'élevons pas d'enfants, nous ne comprenons rien et sommes dépassés par cette transcendance qui fait que toute critique à l'encontre de la mère est blasphématoire. Les mères sont des Intouchables (ha ha)
Mais oui, c'est sur que pondre un gamin relève de l'exploit. Bien sur que se rendre responsable de l'existence de quelqu'un donne une supériorité sur le reste du genre humain, parce que prendre la décision qu'on sera apte à préparer un membre de l'équipe qui paiera notre retraite à l'existence de merde qui lui est promise grace au reste de nos exploits, ça c'est digne du prix nobel. Pour ce qui est de l'élever on se demande parfois si la maman sait de quoi elle parle. Cela doit faire partie des nombreux conceptes qui dépassent les gens capables de prendre de telles décisions et d'adopter par la suite un comportement abjecte avec ses semblables qui ne le sont plus, c'est bien naturel.
Mais pire que tout, on a la mère célibataire. Cette emmerdeuse de première catégorie qui décide de se reproduire avec le plus abruti de tous ceux qu'elle a réussi à trouver et qui soit surtout assez débile pour ne pas connaitre l'usage et l'intéret d'un préservatif ou d'une vasectomie. Cette pauvre victime de son existence, qui se complait sans arrêt dans ses plaintes, qu'elle est seule, que c'est difficile, que ceci et que cela. Et que c'est dur d'élever un enfant, de vivre avec l'argent des assedics quand on n'a pas de travail, et que les autres ne peuvent pas comprendre, leurs problèmes sont si infimes comparé avec cette grande aventure qu'est de construire un nouveau raté sur Terre. Là dessus la mère célibataire entretient le plaisir de cette activité très répendue qui conciste à se valoriser socialement et s'attribuer des mérites (sur des critères que je trouve personnellement douteux) par le mépris et le rabaissement de ceux qui ne partagent pas la situation dans laquelle ils se sont mis, voir enlisé avec fierté.
Je commence sérieusement à en avoir marre de ces connasses mal baisées qui se trouvent tellement intouchables parce qu'elles ont fait sortir un boulet de plus de 3 kg par leurs vagins. J'en ai ma claque de constater à quel point la mère célibataire type passe son temps à se plaindre qu'elle se demmerde (ou pas) seule et qu'elle n'a pas d'aide (à par souvent de l'argent) pour au final sortir crocs et griffes si jamais une quelconque intervention externe dans sa mission de parent arrive sans qu'elle le demande, car au final elle est comme tous les cons qui ne demandent pas qu'on les aide, mais qu'on soit à leur disposition (et par l'occasion qu'on respecte sa construction de l'enfant roi : futur connard) Et bien sur, j'en ai marre que les gens persistent à affirmer qu'on n'a pas à donner son avis sur des choses que l'on ne vie pas personnellement. C'est anticonstitutionnel et ne rejoins que le constat qui précède.
Et tiens tant qu'à parler de ce que la constitution française rédigée il y a plusieurs siècles me donne droit, je pense et je l'exprime, du haut de mon statut défini par ma catégorie sociale de sous-merde, née libre et égale en droits : on devrait stériliser bien des gens.
Mercredi 27 août 2008 à 0:38
Comme peut de personnes le savent, le teneur de ce média réside un quartier au Nord de la ville citée dans l'intitulé de cet article. Et comme lui, vous savez peut-être que depuis huit années* la symbolique de cette ville ne ressemble plus à rien.
Il y a longtemps maintenant, mais du temps à perdre me le fait raconter cette nuit, une personne traversa une partie de la capitale à pied pour regagner son foyer, les transports en commun faisant quelque chose de plus constructif - je l'espère - que de fonctionner. Lors de ce périple fort instructif en matière d'infrastructure, de décors étonnants et cætera, Votre protagoniste eu la lumineuse idée d'user de la rue Guy Môquet (oui encore celui-la) comme passage.
Alors qu'un Guy icônotoire est mis sous les projecteurs un peu trop souvent à l'époque, sa rue subit les privatisations économiques consistant en l'arrêt complet de son éclairage, comme bien d'autres voies et cela de manière quelque peut aléatoire (du moins pour les usagers, on ne sait pas trop ce qui passe par la tête de la Marie de Paris) pour faire scintiller une dame de fer toute la nuit et lui faire tourner un far sur la tête en même temps, histoire que la ville ait bien l'air grotesque, mais que cette inutilité ne soit pas trop cher.
Qu'elle est belle la nuit la ville de Paris...
Il y a longtemps maintenant, mais du temps à perdre me le fait raconter cette nuit, une personne traversa une partie de la capitale à pied pour regagner son foyer, les transports en commun faisant quelque chose de plus constructif - je l'espère - que de fonctionner. Lors de ce périple fort instructif en matière d'infrastructure, de décors étonnants et cætera, Votre protagoniste eu la lumineuse idée d'user de la rue Guy Môquet (oui encore celui-la) comme passage.
Alors qu'un Guy icônotoire est mis sous les projecteurs un peu trop souvent à l'époque, sa rue subit les privatisations économiques consistant en l'arrêt complet de son éclairage, comme bien d'autres voies et cela de manière quelque peut aléatoire (du moins pour les usagers, on ne sait pas trop ce qui passe par la tête de la Marie de Paris) pour faire scintiller une dame de fer toute la nuit et lui faire tourner un far sur la tête en même temps, histoire que la ville ait bien l'air grotesque, mais que cette inutilité ne soit pas trop cher.
Qu'elle est belle la nuit la ville de Paris...
Samedi 5 juillet 2008 à 18:37
J'étais tranquillement aux latrines lorsque j'entendis l'improbable me faisant sursauter: Chuck Norris s'en était occupé* ?
En effet, Ushuaïa Nature avait fait place pour annoncer la libération du nouveau martyre national (même si bizarrement elle était en route pour la présidence de la Colombie)
Oui, Ingrid Bétancourt a quitté sa condition de détention pour rejoindre le statut d'infirmière bulgare. Autrement dit les informations ont vite laissé la place au Sauveur National qui avait pour l'occasion réquisitionner les têtes blondes de la franco-colombienne. Il n'a ni poils roux ni la taille mais au lieu mettre ses pieds où il veut* il les met tout de même sur le devant de la scène médiatique, évinçant toute action de son gouvernement, voir même des gouvernements qui ne sont pas les siens. Infirmières fictives, soutien hypocrite, peu importe car c'est Sir Nicolas qui lui fera la bise, c'est Super Nicolas qui l'a toujours soutenu, tout comme c'est Saint Nicolas qui n'a jamais envoyé la Légion (pourtant à côté) libérer cet otage qui n'avait aucun intérêt politique pour la France a quitter les bons soins des Farc.
Mais peu importe, car pour la première fois depuis que je vis à Paris, j'ai pu voir la mairie du 18ème sans cette iconographie. Et si on compte le fait que la Colombie s'est enfin sorti les doigt du cul, et qu'elle peut se vanter de l'avoir fait toute seule comme une grande, la libération des otages est une heureuse nouvelle. Réjouissons-nous donc pour la Colombie, pour toutes ces personnes libérées, et envoyons chier ces enfoirés de détracteurs qui font que de se marginaliser, à dire à tout le monde que c'est qu'une machination et que nos super héros politiques n'ont eu de super pouvoirs que de céder aux chantages des vilains farc, avec la carte du Super Pouvoir d'Achat. Remarquez, si c'est vrai il y aura au moins quelques uns qui en profiteront (ça vaut bien la peine de vendre l'or du pays pour réinjecter de l'argent dans les caisses de l'État)
Maintenant il serait peut-être temps de libérer les autres (le pauvre touriste qui n'avait rien demander) ou mieux: d'arrêter de reconduire à la frontière (ou plus précisément au milieu du désert) des immigrés en phase de devenir réfugiés politiques.
En effet, Ushuaïa Nature avait fait place pour annoncer la libération du nouveau martyre national (même si bizarrement elle était en route pour la présidence de la Colombie)
Oui, Ingrid Bétancourt a quitté sa condition de détention pour rejoindre le statut d'infirmière bulgare. Autrement dit les informations ont vite laissé la place au Sauveur National qui avait pour l'occasion réquisitionner les têtes blondes de la franco-colombienne. Il n'a ni poils roux ni la taille mais au lieu mettre ses pieds où il veut* il les met tout de même sur le devant de la scène médiatique, évinçant toute action de son gouvernement, voir même des gouvernements qui ne sont pas les siens. Infirmières fictives, soutien hypocrite, peu importe car c'est Sir Nicolas qui lui fera la bise, c'est Super Nicolas qui l'a toujours soutenu, tout comme c'est Saint Nicolas qui n'a jamais envoyé la Légion (pourtant à côté) libérer cet otage qui n'avait aucun intérêt politique pour la France a quitter les bons soins des Farc.
Mais peu importe, car pour la première fois depuis que je vis à Paris, j'ai pu voir la mairie du 18ème sans cette iconographie. Et si on compte le fait que la Colombie s'est enfin sorti les doigt du cul, et qu'elle peut se vanter de l'avoir fait toute seule comme une grande, la libération des otages est une heureuse nouvelle. Réjouissons-nous donc pour la Colombie, pour toutes ces personnes libérées, et envoyons chier ces enfoirés de détracteurs qui font que de se marginaliser, à dire à tout le monde que c'est qu'une machination et que nos super héros politiques n'ont eu de super pouvoirs que de céder aux chantages des vilains farc, avec la carte du Super Pouvoir d'Achat. Remarquez, si c'est vrai il y aura au moins quelques uns qui en profiteront (ça vaut bien la peine de vendre l'or du pays pour réinjecter de l'argent dans les caisses de l'État)
Maintenant il serait peut-être temps de libérer les autres (le pauvre touriste qui n'avait rien demander) ou mieux: d'arrêter de reconduire à la frontière (ou plus précisément au milieu du désert) des immigrés en phase de devenir réfugiés politiques.
Dimanche 22 juin 2008 à 11:01
Tuez-les tous
Les aspirant artistes, qui font que le 21 juin n'est pas le jour le plus long de l'année pour rien.
Les préadolescents, parce qu'ils n'ont aucun gout, qu'ils sont chiants, et qu'ils sont moches.
Les employés de chez McDonald's à Denfert-Rochereau, qui servent de la bouffe empoisonnée et qui en plus la servent mal.
Le PS, qu'on en finisse... de toutes façons ils se sont tous recyclés.
Les pondeuses, qui trimballent leurs larves hurlantes en société passé 21h.
Laissez-les crever
Les vieux, parce que de toute façon avec la nouvelle mode de l'alimentation sans sel ils se déshydrateront plus vite.
Les sarkozistes, qui méritent bien de l'avoir pour président.
Les enfants maltraités, car leur sort est toujours plus enviable au sein d'un foyer pourri et déviant que dans les mains d'une assistante sociale.
Les jui... ah non pas eux.
Les gens martyrisés en général, qui ont besoin de conserver leurs statuts comme d'autres leurs acquis sociaux, prime de charbon comprise.