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Vendredi 8 juin 2007 à 23:37

Je l'avais dit, je l'avais bien dit, Dieu l'Nième mégalo sur terre m'en est témoin, si au mois de juin je vois encore ce type dans la presse, j'en remet une couche !

Chose promise, j'ajoute cet article à celui déjà posté à ce sujet, à l'exception que je vais faire l'impasse sur l'évidence que j'ai déjà étalé cette fois là. Il suffit des portes ouvertes, il y a bien plus grave que les torche-culs et les émissions culturelles de TF1 : la compassion sur fond de culotte, ça c'est grave !

« gueule d'ange »… ou l'expression qui veut tout dire. Au lieu de se dire que la place d'un ange est au ciel, on se dit « oh comme c'est triste, mourir à seulement 23 ans, même si en si peu de temps il a réalisé des rêves qu'on n'atteindra jamais en 100 ans, pourquoi faut-il qu'un garçon si mignon nous quitte ? snif »

En effet, tu parles d'un drame ! Une icône masturbatoire nous quitte, les protège-slip sont en deuil.

Fantasmer sur le sourire colgate et la mèche laquée d'un mort c'est trop morbide pour l'esprit star ac', on ne peut même plus espérer verser ses larmes sur son acné lors de sa rencontre organisée par fan de. Hurlements de douleurs des groupies, le monde s'écroule !

Soyons honnête, le produit dérivé le plus représentatif de ce défilé de pleureuses serait d'ajouter au CD post-mortem de ce « grand artiste » un kit « premières masturbations » comprenant un mini vibro et un livre simplifié de psychologie expliquant aux pucelles en rut pourquoi leur inconscient les fait systématiquement fantasmer sur des types plus ou moins inaccessibles : le professeur de gym, le mec déjà pris, l'homosexuel, le meilleur ami du grand frère, Légolas, ou comme ici :
un mort.


 

Dimanche 27 mai 2007 à 20:42

Je dois l'idée de l'illustration à cet article, et l'idée de l'article à ce blog.

C'est bien gentil de rendre hommage à cette personne, mais quand ça devient du matraquage médiatique prétexte à faire de l'audience comme à vendre des journaux de merde, ça commence à être révoltant. On n'a jamais autant parlé de ce type que depuis qu'il est mort, pas étonnant mais de plus en plus déplorable.
Quand je passe devant un marchand de presse, ce que je vois ne ressemble pas à un hommage lié au culte de la mort ou encore un appel à la mobilisation contre la maladie mais bien l'exploitation d'un sujet sortant de la banalité par la vie médiatique d'un type dont on n'avait probablement pas grand-chose à foutre avant sa mort, l'intérêt qu'on lui porte étant proportionnel à l'argent qu'il rapporte. Et maintenant il sert de fondation à des pseudo Téléthons, mais bien sûr quel magnifique élan humain laissez moi rire !

Et qu'est-ce qu'on parle de la mucoviscidose depuis sa mort, à croire que sa perte aura servi à quelque chose hormis son « déchirant » message d'amour laissé derrière lui, il aura permis à une petite écervelée de tenter de rencontrer Tokio Hotel en prétextant qua sa meilleure amie avait attrapé cette maladie.

C'est fou qu'il nous manque. Sa mort a vraiment ébranlé le pays, un réveil de connerie pareil ça surprend toujours quand on s'y attend le moins.


Et en parlant de ça, tenez: Tournée annulée pour GL

Dimanche 27 mai 2007 à 0:13

          ... Expression à priori positive révélant parfois une forme d'intolérance au sein de la société. Car s'il y a le bon travailleur, c'est qu'il y a comme le veut une doctrine éthique répandue (pour ne pas citer la culture judéo-chrétienne par exemple) le sale chômeur/RMIste/branleur/alcoolique/bon à rien/faignant.

          En bon intolérant de tout temps, celui qui se considère comme un bon travailleur exècre ceux qui ne sont pas de sa caste. Et son attitude, mais là comme un bon tolérant qui se respecte, lui permet de se mettre lui-même sur un piédestal au dessus de la société.
Le temps consacré à moult activités n'ayant aucune production matérielle à la clef est pur glandage. Là est la base principale de sa réflexion.

          Le bon travailleur passe souvent outre le fait que le but ultime d'une vie est simplement le bonheur (C'est la seule fin en soit) Une curiosité fait que l'adage « l'argent ne fait pas le bonheur » est issu des mêmes cultures faisant l'éloge de la valeur travail.

          Qu'on considère le travail comme quelque chose de positif malgré son étymologie, soit. Là n'est pas la question. Le problème réside dans le dénigrement des autres divertissements. Car si le travail n'est plus ce qu'il était pour tout le monde (étymologie toujours), c'est bel et bien un divertissement. Le divertissement ayant pour but d'occulter la médiocrité de la vie.

          Celui-ci n'apporte de plus que les autres que la production matérielle. Mais si l'on en croit les discours professés sur l'argent et les matérialistes (pas au sens philosophique, merci) le travail ne vaut guère plus que les autres divertissements.

          Alors nous n'en somme qu'à une bande d'élitistes faisant l'autruche face à leurs vies minables dans le trou qu'ils auront jugé le meilleur sur des valeurs discutables.

          C'est d'autant plus discutable que lorsque un individu « gagne sa vie » à travers une vocation, sa valeur est tout aussi bien remise en question par le bon travailleur. Non content de cracher sur l'honneur, en tout cas comme il le défini lui, de la personne qui gagne une rétribution matérielle à faire quelque chose d'épanouissant, le bon travailleur ne supporte pas que quelqu'un s'éclate plus que lui dans une activité rémunérée peu ordinaire. Parlez donc des intermittents au bon travailleur… mais le pire, c'est que celui-ci ne supporte pas non plus ceux qui ont un travail de merde plus court que le sien ! Les fonctionnaires en font souvent les frais, car s'il y a les moqueries gentillettes il y a une véritable haine du fonctionnaire, qui prend naissance le plus souvent dans le cœur du bon travailleur, ce qui est tout de même révélateur d'une frustration contradictoire avec tout ce discours sur les bienfaits de « bosser ».

Sois feignant, sois feignant. Tu vivras content !
Sois feignant, sois feignant. Tu vivras longtemps !

          S'il y avait un peuple des bons travailleurs ils seraient ethnophobes.
C'est-à-dire que le bon travailleur est un abruti prétentieux, intolérant, frustré et masochiste qui manque aussi bien de logique dans ses raisonnements que de chemin parcouru vers l'objectif de l'humanité.

          Alors le bon travailleur et les autres bonnes gens qui dénigrent Second Life moi je leur pisse à la raie, car comme divertissement sans prendre un shoot d'héroïne il n'existe pas plus efficace.

Samedi 26 mai 2007 à 22:14

L'image d'une adolescente mi pute mi soumise me hante…

J'ai il y a quelques années vu un reportage sur un lycée public parisien, où la directrice luttait contre des armées de petits racistes en herbe, de croyants au prosélytisme exacerbé et de religieux faisant campagne sur le trottoir de l'établissement.

Alors que le conflit israélo-palestinien a prit place au sein de l'école, et que les élèves forment des clans ethniques, cette brave dame explique en vain à une élève à l'absentéisme judaïque qu'elle se doit de venir en cours le vendredi en fin d'après midi comme tout le monde (ou alors d'aller en école judaïque)
La laïcité obligatoire étant un argument incompréhensible pour la communauté de l'adolescente concernée (elle et ses potes, qui estiment mériter des privilèges de part l'importance du judaïsme en France) elle lui réplique inutilement (la petite est bornée) que si l'on devait respecter toutes les fêtes de toutes les religions sur terre, il n'y aurait jamais cours. Ça parait pourtant juste et logique. D'autant plus qu'accorder ce type de privilège revient à de la discrimination pour beaucoup d'autres. Mais la petite préfère l'école buissonnière en synagogue.

Mais de tous les discours des croyants en pleine puberté, celui qui m'a vraiment marqué vient d'une jeune fille, probablement réfugiée dans l'islam comme une autre adolescente deviendrait gothique ou rasta, qui décrète fièrement à ses copines que sa religion est la seule véritable religion, la preuve est incontestable : elle la tient entre ses mains (le manuel tome 3 du parfait neuneu endoctriné) De plus Mahomet est le dernier prophète envoyé par Dieu donc il a forcement plus raison que les autres (Je reviendrai sur ce point plus tard)

Elle est tellement à donf dans ses idéaux (ReBelZ) qu'elle vient en cours en portant le voile. Elle sait pertinemment qu'elle sera exclue, mais s'en fout, le CNED (payant) est là. Bien sur, normalement il est là pour les enfants dans l'incapacité de suivre les cours de l'éducation nationale française en établissement, et ce n'est pas du tout ses parents qui la forcent à porter le voile (sa mère est du genre modérée qui veut que sa fille reste dans son école) mais la petite orgueilleuse préfère s'éloigner du monde quitte à se faire payer des cours par correspondance. Vous comprenez, c'est tellement important pour elle de montrer son humilité à travers le voile recouvrant jusqu'à ses oreilles. Mais bon si c'est pour ça faudra penser à virer le sac Vuitton qu'elle se trimballe à l'école.

Mais de toutes façons, elle qui est si sur d'elle et de son livre, elle ne l'emportera pas au paradis. Ben oui, le dernier prophète de Dieu, c'est Joseph Smith. Et les seuls qui iront au paradis, ce sont les mormons

Mardi 1er mai 2007 à 17:18

Suite à la diffusion d'un épisode de South Park, une question m'interpelle. Si Jésus Christ alias notre sauver a lavé l'humanité de ses péchés, pourquoi les ecclésiastiques nous disent encore qu'il faut pratiquer les traditions chrétiennes même si nous n'avons rien fait de mal car nous naissons avec le péché originel ?

Cela fait longtemps que je songe a suivre des cours de théologie. Mais je crains d'assister à des cours prosélytes dans une fac ne ciblant qu'un dogme.
Et je ne veux pas assister à du catéchisme traditionnel dispensé par une fidèle de type mère de famille faisant du bénévolat pour la cause, une femme qui nous expliquerait dans un cours de morale sur l'avortement par exemple, comme l'a vécu Dame Margritis dans sa jeunesse, qu'il ne faut pas même laisser une fillette avorter parce que les plus beaux bébés naissent des plus jeunes filles.

Alors y a-t-il une réponse hors de la déduction de la préservation leur secte dans un pédagogie neutre ?

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